Dans la volonté de soutenir les talents émergents, le Nouvel Observatoire Photographique du Grand Est inaugure, cette année, la première édition d’une bourse qui s’inscrit dans le sillage de la pensée philosophique de l’Évènement Photographique. Nommée, à juste titre, Jeune Création Photographique du Grand Est, celle-ci s’adresse aux artistes en devenir âgés de moins de 45 ans. À titre individuel ou collectif, tous les candidats doivent travailler et résider dans la région. En lien avec les autres manifestations en cours, le sujet s’intitule « Danse avec la Terre » et s’attache ainsi à interroger la relation que nous entretenons avec la planète et ses mouvements, qu’ils soient physiques, politiques, sociaux ou esthétiques. Toutes les approches sont les bienvenues, seuls l’aspect novateur et la singularité de l’œuvre proposée seront appréciés.
Modalités de participations :
Pour concourir, rien de plus simple. Il suffit de remplir cette fiche ainsi que ce formulaire de candidature avant le 15 octobre 2022, minuit. Celui-ci s’accompagnera des éléments suivants, rassemblé dans un seul fichier PDF, intitulé « Bourse : “Jeune Création Photographique Grand Est” NOM_Prénom_2022 » :
- une note d’intention du projet qui n’excédera pas les 3500 signes. Elle s’augmentera de photographies, de visuels et de tous documents pouvant préciser la nature du projet en dix pages maximum ;
- un CV ;
- une série de vingt photographies maximum dévoilant un projet personnel ;
- un justificatif de domicile en Région Grand Est (quittance de loyer, facture téléphonique, etc.) au nom du ou de la candidate ;
- une photocopie de la carte d’identité ;
- un lien WeTransfer contenant l’ensemble du dossier, à transmettre via le formulaire en ligne
La récompense :
À l’issue des délibérations, le jury désignera deux lauréats. Ils recevront alors une bourse d’une valeur de 2 500 € chacun pour réaliser le projet proposé en amont. Elle couvrira l’ensemble des frais liés à l’élaboration de l’œuvre. Dans un second temps, l’organisation se chargera ensuite de réunir le budget nécessaire à la mise en place de l’exposition qui aura lieu l’été suivant.
© Helena Schätzle