C’est l’heure du récap’ ! Cette semaine, Fisheye vous fait voyager. La première halte dévoile l’univers du photographe maroco-belge, Mous Lamrabat. En mariant les influences propres à ses origines, l’artiste imagine un monde où le luxe se retrouve parodié et imprégné de pop culture. Ensuite, Tobias Nicolai conte dans The Ritual, une étonnante coutume danoise qui consiste à déverser de grandes quantités de cannelle sur les célibataires à leurs 25 ans. Cet article est à découvrir dans notre dernier numéro, Fisheye #59. Dans un thème tout aussi décalé, François Prost lance une campagne de financement participatif à l’occasion de la sortie de Club Ivoire par Fisheye éditions. Dans cet ouvrage, l’auteur français poursuit sa collection de façades de discothèques saisies, cette fois-ci, en Côte d’Ivoire. Puis, la nature s’impose dans la 20e édition du Festival Photo La Gacilly. Dans un parcours extérieur, les visiteurices se laissent happer par les thématiques environnementales, sociales et humaines exposées. Enfin, le dernier Focus donne la parole à Benoît Méjean. Il explique avec émotion, comment la photographie lui a permis de capturer ses états d’âme suite au décès de sa sœur. Chaque image raconte une histoire, il faut cliquer sur les légendes pour les découvrir.
L’actualité : La campagne de financement participatif du prochain livre de François Prost est ouverte ! | © François Prost
L’actualité : Les œuvres de Mous Lamrabat se dévoilent à la galerie Le Château d’Eau! | © Mous Lamrabat / Courtesy of Loft Art Gallery
C’est dans le mag : L’étrange coutume danoise épicée saisie par Tobias Nicolai | © Tobias Nicolai
L’actualité : La nature au cœur du Festival Photo La Gacilly | © Cassio Vasconcellos
L’histoire : Benoît Méjean se confie au sujet de Reliqua desiderantur, un livre illustrant ses états d’âme | © Fisheye Magazine
Image d’ouverture : © François Prost