La rédaction Fisheye vous propose un best of des sujets présentés durant l’année 2018 sur le site de Fisheye.
Trois news images
Le pouvoir des femmes, Kate Sweeney
La portraitiste américaine Kate Sweeney capture la beauté brute des femmes. Ses images aux couleurs vives subliment la diversité des corps et proposent une nouvelle vision de la nudité.
© Kate Sweeney
Cause I’m a man, Emma Birski
« Noé est né dans le mauvais corps et essaye de réparer l’erreur de la nature ». Durant deux mois, Emma Birski, 21 ans, a photographié son frère transgenre, en pleine réconciliation avec son corps. Elle signe, avec Cause I’m a man, un projet fait d’allégories.
© Emma Birski
Boda Boda Madness, Jan Hoek
photographie pour créer du lien. L’artiste hollandais s’intéresse au résultat inattendu apparaissant durant un shooting. Avec Boda Boda Madness, il propose des portraits surréalistes de chauffeurs de taxi-moto à Nairobi.
© Jan Hoek
Trois portfolios
Aïthō (je brûle), Adeline Care
photographe française, aime concevoir des œuvres à la frontière du réel et de la fiction. C’est en découvrant les paysages basaltiques de l’Etna, et l’impossibilité de toute forme de vie qui en émane, que la jeune photographe imagine ce que pourrait être l’extinction de l’espèce humaine.
© Adeline Care
Europea, Joakim Kocjancic
« C’est mon histoire. C’est mon Europe, un voyage onirique à travers les capitales européennes et les paysages urbains », raconte Joakim Kocjancic. Il constitue avec ses images une nouvelle ville européenne où les frontières n’existent plus et où la condition humaine prédomine.
© Joakim Kocjancic
Province, Nazar Furуk
Régulièrement, Nazar Furуk retourne dans sa ville natale, à Kolomya, en Ukraine occidentale. Là-bas, il documente le contraste entre la ville et la province et le quotidien des jeunes. Photojournaliste de formation, cette série constitue un retour aux sources. Il explique aimer raconter les histoires sur lesquelles l’on n’a pas l’habitude de se pencher. Alors, il photographie ses amis, ses « héros » dans un environnement bien réel.
© Nazar Furуk
Trois interviews
Kochan, Alessandra Calò
, photographe italienne, présente, au Festival Circulation(s), sa série Kochan. Un travail hybride, où dessin et photographie se mélangent pour former une exploration poétique et intime. Rencontre avec l’artiste.
© Alessandra Calò
Céline Bodin
, photographe française de 28 ans, se spécialise dans le portrait. Ses séries, déclinées en thèmes, interrogent la notion de genre et les coutumes de notre culture occidentale. Entretien avec une artiste passionnée.
© Céline Bodin
Corinne Mercadier
C’est au MuMa, à l’occasion de l’expo multidisciplinaire Comme une histoire… Le Havre, que nous avons découvert le travail de la photographe Corinne Mercadier. Elle y présentait son Carré lunaire, triptyque qui dévoile son univers atemporel et silencieux.
© Corinne Mercadier
Trois livres
Ango, Sakiko Nomura
Sakiko Nomura signe avec Ango un ouvrage aux monochromes sublimes et à l’histoire douloureuse, inspirée par la Seconde Guerre mondiale et par la nouvelle d’Ango Sakaguchi, Une femme et la guerre.
© Sakiko Nomura
The American Fraternity, Andrew Moisey
Lorsque son frère entre dans une fraternité américaine, le photographe Andrew Moisey découvre un univers secret. Pendant sept ans, il capture le quotidien de ces hommes, et signe The American Fraternity, un ouvrage effrayant et fascinant.
© Andrew Moisey
Noces ou Les Confins sauvages, Hélène David
Réalisme magique, c’est le terme qui pourrait définir l’œuvre d’Hélène David. Dans son ouvrage Noces ou Les Confins sauvages, les photographies dialoguent avec des dessins en relief et des poèmes. Une plongée en apnée dans l’univers merveilleux et sauvage de la Méditerranée.
© Hélène David
Image d’ouverture © Kate Sweeney