Les coups de cœur #197

23 juillet 2018   •  
Écrit par Anaïs Viand
Les coups de cœur #197

Cette semaine, la rédaction propose le travail de deux street photographes. Mike Clarke travaille en noir et blanc tandis que Josh Ethan Johnson joue avec la couleur. Voici nos coups de cœur de la semaine.

Mike Clarke

Photographe anglais vivant entre Londres et Singapour, Mike Clarke travaille sur des projets conceptuels et des projets commerciaux. C’est grâce à sa cousine qu’il découvre le médium. « En regardant ma cousine Laura utiliser son nouvel appareil photo, ma passion s’est instantanément transformée en une obsession pour la photographie », se souvient Mike. À travers ses photos de rue, il s’attache à explorer notre interaction avec le monde moderne. « Mes sujets sont abstraits et dénués d’identité. J’aime me concentrer sur de petits détails universels », précise le photographe .

© Mike Clarke© Mike Clarke

© Mike Clarke© Mike Clarke

© Mike Clarke

Josh Ethan Johnson

« La photographie est le meilleur moyen de découvrir mes opinions. Durant le shooting, j’essaie de connecter mon subconscient avec mon appareil photo. Cela me permet d’apprendre sur moi, de me connaître », explique Joshua, un photographe de rue installé à New York. La photo est aussi une excuse pour engager la conversation avec des étrangers intrigants. Dans sa série Candid, il partage sa notion de l’authenticité. « J’essaye d’immortaliser le spontané. Parfois, je parle avec les gens et parfois, j’essaie de rester invisible (…) Je ne suis pas intéressé par les règles établies par d’autres », précise le photographe.

© Joshua Johnson© Joshua Johnson

© Joshua Johnson© Joshua Johnson

© Joshua Johnson© Joshua Johnson

© Joshua Johnson

Explorez
La précieuse fragilité selon le festival FLOW#1
Les Fossiles du futur, Synesthésies océaniques © Laure Winants, Fondation Tara Océan
La précieuse fragilité selon le festival FLOW#1
Du 20 septembre au 30 octobre 2025 s’est tenue la première édition de FLOW, un parcours culturel ambitieux imaginé par The Eyes...
13 novembre 2025   •  
Écrit par Fabrice Laroche
Une fable collective au cœur du béton, par Alexandre Silberman
© Alexandre Silberman, Nature
Une fable collective au cœur du béton, par Alexandre Silberman
Exposée à la galerie Madé, dans le cadre de PhotoSaintGermain, jusqu’au 30 novembre 2025, la série NATURE d'Alexandre Silberman...
12 novembre 2025   •  
Écrit par Milena III
Laura Lafon Cadilhac : s'indigner sur les cendres de l'été
Red Is Over My Lover. Not Anymore Mi Amor © Laura Lafon Cadilhac
Laura Lafon Cadilhac : s’indigner sur les cendres de l’été
Publié chez Saetta Books, Red Is Over My Lover. Not Anymore Mi Amor de Laura Lafon Cadilhac révèle un été interminable. L’ouvrage se veut...
07 novembre 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Écofemmes Fest : un rendez-vous pour créer, lutter, transmettre
Trenza, le lien qui nous unit, 2025 ©Gabriela Larrea Almeida
Écofemmes Fest : un rendez-vous pour créer, lutter, transmettre
Jusqu'au 9 novembre prochain, La Caserne, dans le 10e arrondissement de Paris, accueille la première édition d’Écofemmes Fest, un...
07 novembre 2025   •  
Écrit par Cassandre Thomas
Nos derniers articles
Voir tous les articles
Les secrets des météorites dévoilés par Emilia Martin
I saw a tree bearing stones in place of apples and pears © Emilia Martin
Les secrets des météorites dévoilés par Emilia Martin
Dans son livre I Saw a Tree Bearing Stones in the Place of Apples and Pears, publié chez Yogurt Editions, Emilia Martin s’intéresse au...
Il y a 1 heure   •  
Écrit par Marie Baranger
Jonathan Bertin : l'impressionnisme au-delà des frontières
Silhouette urbaine, Séoul Impressionism © Jonathan Bertin
Jonathan Bertin : l’impressionnisme au-delà des frontières
Jusqu’au 20 décembre 2025, Jonathan Bertin présente, à la Galerie Porte B, un dialogue délicat entre sa Normandie natale et Séoul, ville...
20 novembre 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Emilio Azevedo : En ligne de mire
Rondônia (Comment je suis tombé amoureux d’une ligne), 2023 © Emilio Azevedo
Emilio Azevedo : En ligne de mire
Présentée dans le cadre du festival PhotoSaintGermain et au musée du Quai Branly, l'exposition Rondônia. Comment je suis tombé amoureux...
20 novembre 2025   •  
Écrit par Milena III
À la MEP, Tyler Mitchell joue avec les codes du portrait formel
The root of all that lives, 2020 © Tyler Mitchell. Courtesy de l'artiste et de la Galerie Gagosian
À la MEP, Tyler Mitchell joue avec les codes du portrait formel
Jusqu’au 25 janvier 2026, la Maison européenne de la photographie présente la première exposition personnelle de Tyler Mitchell en...
19 novembre 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet