Le 1er juillet 2019 se tiendra la soirée d’ouverture de la 50e édition des Rencontres d’Arles. Pour l’occasion, le festival transformera le centre-ville en une grande fête foraine. Au programme : projections, musiques, stands et inventions autour de la photographie. Vous souhaitez partager votre travail avec les festivaliers, tout en vous imprégnant de cette atmosphère unique ? Les Rencontres d’Arles vous invitent à construire une attraction spectaculaire, dans le cadre de son « appel aux inventeurs », ainsi qu’un travail prêt à être projeté sur les murs d’Arles, grâce à l’événement « Bring your own beamers ». L’occasion d’exposer aux Rencontres avec originalité.
Les modalités de participation
Les deux appels à candidatures se clôturent le 25 mai 2019. Pour participer à l’appel aux inventeurs, il vous faudra envoyer un dossier (à l’adresse inventeurs@rencontres-arles.com) comprenant :
- Une fiche technique détaillée
- Une simulation illustrée (croquis, dessins, photographies, plans…)
- Une note d’intention de votre projet (500 signes)
- Un budget précis (hors hébergement et transport).
La production et l’installation technique devront être réalisées par l’inventeur, qui bénéficiera du soutien des équipes du festival. Cinq à dix projets seront sélectionnés, et les lauréats recevront chacun 500 euros pour la création de l’invention. Les Rencontres prennent également en charge le logement et le transport des finalistes.
Intéressés par Bring your own beamers ? Il vous suffit d’envoyer votre projet finalisé à l’adresse byob@rencontres-arles.com. Il vous faudra envoyer :
- Un diaporama/vidéo/montage via WeTransfer, Myairbridge (ou autres)
- Une courte note d’intention
- Une biographie de 500 signes
Une fois les projets sélectionnés, l’équipe de direction des Rencontres d’Arles attribuera un moment et un lieu aux lauréats, afin qu’ils diffusent leurs œuvres dans la ville. Un seul mot d’ordre : être créatif, décalé et festif !
Plus d’informations sur l’appel aux inventeurs et Bring your own beamers sur le site des Rencontres.
© Marie Brosillon Schneider