C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les photographes questionnent l’intime et des sujets politiques poignants. Dans We cry in silence, Smita Sharma livre une série bouleversante dénonçant le trafic sexuel des filles dans les régions d’Asie du Sud-Est. Quant à Raphael Schumacher, il capture, avec poésie, le démantèlement d’une ZAD en Allemagne. Dans une thématique plus légère, mais tout aussi intime, Alessandro De Marinis présente un travail introspectif sur son frère jumeau et lui-même. Juliette Alhmah s’intéresse à présenter dans ses clichés une beauté banale, sans retouche. Une véritable ode à l’amour et la liberté. Nous vous invitons également à affronter la pluie pour découvrir le travail captivant de Chris Killip à la galerie Magnum et les images énigmatiques de Sarah Moon à la Villa Médicis. Deux expositions de clichés en noir et blanc saisissants ! Enfin, faites une halte à la Fisheye Gallery pour contempler la nouvelle exposition, Alchimistes du sensible, présentée dans notre dernier numéro. Chaque image raconte une histoire, il faut cliquer sur les légendes pour les découvrir.
L’histoire : À la rencontre de survivantes de trafics sexuels, premier volet d’une interview poignante | © Smita Sharma
L’histoire : Alessandro De Marinis capture sa relation avec son frère jumeau | © Alessandro De Marinis
L’histoire : Juliette Alhmah questionne les représentations dans des images présentant la beauté du banal | © Juliette Alhmah
C’est dans le mag : L’exposition Alchimistes du sensible est à découvrir à la Fisheye Gallery jusqu’au 6 mai ! | © Tamaki Yoshida
L’actualité : Reporters sans frontières rend hommage à Abbas dans un ouvrage rétrospectif | Abbas © Fonds Abbas Photos/Magnum Photos
Image d’ouverture : © Smita Sharma