Fisheye rembobine #1 : Tokyo Solo

25 mai 2018   •  
Écrit par Anaïs Viand
Fisheye rembobine #1 : Tokyo Solo

Le défi de Gabriel de la Chapelle et Varam Muratyan ? Immobiliser une ville qui ne dort jamais en photographiant ses taxi drivers et ses beautiful strangers. Rencontré à l’occasion du KG+, à Kyoto, le duo s’explique. Et pour vous, Fisheye rembobine.

C’est à Kyoto, dans le cadre du KG+ que nous avons découvert le travail de Gabriel de la Chapelle. Il y présentait Tokyo Solo, une exposition imaginée et conçue avec Varam Muratyan, créateur de passerelles visuelles. Durant une dizaine de nuits, entre avril et mai 2017, les deux amis ont cherché à documenter le « grand mystère de Tokyo ».

Ombre ou lumière ? Immobilité ou mouvement ? Communauté ou isolement ? Semblables à des toiles de Hopper ou à des scènes de film, les images de Tokyo Solo composent un ballet urbain contrasté. Et pourtant, ces images ont toutes été réalisées à Shibuya, l’un des quartiers les plus animés de la ville. Là-bas, impossible d’emprunter seul un passage piéton. Le duo parvient à arrêter le temps et à fixer notre regard sur les Tokyoïtes, tantôt taxi drivers, tantôt beautiful strangers . Une mise en lumière de l’homme hors de la fourmilière.

© Gabriel de la Chapelle

© Gabriel de la Chapelle© Gabriel de la Chapelle

© Gabriel de la Chapelle© Gabriel de la Chapelle

© Gabriel de la Chapelle© Gabriel de la Chapelle

© Gabriel de la Chapelle

Vidéo © Nina Peyrachon

Explorez
La sélection Instagram #506 : avec la légèreté d'une plume
© Oana Stoian / Instagram
La sélection Instagram #506 : avec la légèreté d’une plume
Les artistes de notre sélection Instagram de la semaine saisissent un instant, un moment suspendu dans l’air, une respiration, une...
Il y a 1 heure   •  
Écrit par Marie Baranger
Les coups de cœur #543 : Clarice Sequeira et Maurizio Orlando
© Clarice Sequeira
Les coups de cœur #543 : Clarice Sequeira et Maurizio Orlando
Clarice Sequeira et Maurizio Orlando, nos coups de cœur de la semaine, proposent un regard intime sur soi et sur l'autre. La première...
12 mai 2025   •  
Écrit par Lucie Donzelot
Les images de la semaine du 5 mai 2025 : révolution des corps
© Anouk Durocher
Les images de la semaine du 5 mai 2025 : révolution des corps
C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les pages Fisheye célèbrent les corps sous différentes formes, de sa portée politique aux...
11 mai 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Anouk Durocher : portrait d'une révolution intime
© Anouk Durocher
Anouk Durocher : portrait d’une révolution intime
Nous avons posé quelques questions à Anouk Durocher, artiste exposée à Circulation(s) 2025. Dans son travail, elle explore l'approche...
08 mai 2025   •  
Écrit par Costanza Spina
Nos derniers articles
Voir tous les articles
La sélection Instagram #506 : avec la légèreté d'une plume
© Oana Stoian / Instagram
La sélection Instagram #506 : avec la légèreté d’une plume
Les artistes de notre sélection Instagram de la semaine saisissent un instant, un moment suspendu dans l’air, une respiration, une...
Il y a 1 heure   •  
Écrit par Marie Baranger
L'exposition Benzine Cyprine victime de vandalisme
Le compromis, de la série Benzine Cyprine © Kamille Lévêque Jégo
L’exposition Benzine Cyprine victime de vandalisme
Les expositions présentant le travail de femmes photographes et traitant de sujets liés au féminisme et à l’égalité des genres sont...
12 mai 2025   •  
Écrit par Fisheye Magazine
Dans l'œil de Marivan Martins : portrait de la surconsommation
Black Friday © Marivan Martins
Dans l’œil de Marivan Martins : portrait de la surconsommation
Aujourd’hui, plongée dans l’œil de Marivan Martins, photographe brésilien, installé à Paris, dont le livre autoédité Black Friday est...
12 mai 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Les coups de cœur #543 : Clarice Sequeira et Maurizio Orlando
© Clarice Sequeira
Les coups de cœur #543 : Clarice Sequeira et Maurizio Orlando
Clarice Sequeira et Maurizio Orlando, nos coups de cœur de la semaine, proposent un regard intime sur soi et sur l'autre. La première...
12 mai 2025   •  
Écrit par Lucie Donzelot