Le Fisheye #50 vient de sortir ! L’occasion de découvrir les projets photographiques de celles et ceux qui, pour les besoins de leur art, n’ont pas manqué de suivre leur instinct…
« Cinquante numéros pour un quotidien cela prend moins de deux mois à concevoir, pour Fisheye, cela nous a demandé plus de huit ans. Pas que nous soyons faignants, mais il faut de l’enthousiasme pour raconter une histoire, surtout avec des images », écrit Benoît Baume, directeur de la rédaction et de la publication Fisheye, en guise d’introduction de notre 50e numéro.
Si la création du magazine résulte elle-même de la poursuite d’un instinct, nous la retrouvons également au cœur des récits qui l’animent aujourd’hui. Dans ce troisième opus né de la refonte, c’est avec la même fougue des débuts que nous prenons le temps de vous raconter des histoires, nos « stories ». Parmi elles, celle du Centre régional de la photographie, l’une des premières institutions consacrées au 8e art. Nous vous contons notamment celle de Karim Ben Khelifa, qui dénonce la fabrication de nos téléphones au travers d’une application de réalité augmentée. Mais vous pourrez également explorer les cauchemars européens de Christian Lutz, de même que les « short stories » colorées de Lou Escobar. Nous pourrions encore en évoquer des dizaines, tout aussi audacieuses, mais nous vous laissons le plaisir de les découvrir par vous-même, au fil des pages de notre dernière parution.
Le Fisheye #50 est disponible en kiosque, sur le store, et sera également en vente à Paris Photo et à la Fisheye Gallery. Nous serons également présent au Consulat, ce week-end, dans le cadre de la foire Chromie, sans oublier l’exposition-concert de la microbrasserie artisanale BAPBAP pour redécouvrir le travail de Théo Gosselin. Autant de lieux que d’occasions d’acquérir notre dernier numéro, tout en rencontrant les équipes Fisheye. Venez nombreux !
Image d’ouverture © Marco Marzocchi