© Kalel Koven
Kalel Koven est un photographe autodidacte qui a pris l’habitude d’utiliser des appareils photo différents car “chaque appareil impose une façon de faire, un rythme et donc des photos différentes.”
Dans cette série réalisée au Japon, c’est l’Iphone qui a été son arme de prédilection.
Classé 3ème au concours Urban Photo 2013, vous aviez déjà pu voir le travail de Kalel Koven sur Fisheye ici.
Inspiré par les rues d’Istanbul et Lisbonne comme par celles de Londres, il explique le choix du smartphone pour ses prises de vues :
“Je pratique la photo iPhone depuis longtemps, bien avant Instagram. Je l’ai toujours dans la poche, donc c’est un moyen simple de pouvoir créer une série de photos différentes en complément de mon appareil classique.”
“Les limites de l’iPhone poussent à se concentrer davantage sur la capture du moment et à apprendre à se servir de son instinct. A la prise de vue je n’ai pas eu de problème particulier car c’est aussi ça le smartphone, la simplicité, la discrétion.”
Dans “Electric Light”, le photographe basé à Paris nous emmène au fil de ses déambulations à Kyoto, Takamatsu, Tokyo et Kobé. Pourquoi le noir & blanc ? “J’avais en tête les photos très contrastées de Moriyama.”
L’ensemble de la série Electric Light et tout le travail de Kalel Koven sont à retrouver sur son site.
C.L.