Les coups de cœur #66

04 janvier 2016   •  
Écrit par Fisheye Magazine
Les coups de cœur #66

Frankyclub

Franck, Parisien de 33 ans, se sert de son Tumblr comme d’un journal. Au fil de ses photos argentiques, on découvre un bel univers. Les compositions sont rafraichissantes, les corps s’étirent, se cachent derrière des combinaisons zébrées ou d’épais rideaux et on ne peut s’empêcher de “scroller” toujours plus pour voir ce que le photographe nous réserve encore.

tumblr_nzseyhmcLE1si0emuo1_500
© Franck Jessueld
tumblr_nzsdycsIhP1si0emuo1_500
© Franck Jessueld
© Franck Jessueld
© Franck Jessueld

Blondygraphie

Le sujet de prédilection de Justine, graphiste de formation, c’est l’intimité. Ses nus oscillent entre une sensualité candide et un érotisme pudique. De tous ses portraits, ce sont justement les moins maîtrisés qui attirent le regard. Pris sur le vif, spontanés et vivants, ils sont l’expression la plus fidèle de cette féminité que Justine cherche à exalter.

© Justine Decroix
© Justine Decroix

 Lisa Otjacques

Lisa, 23 ans, utilise son Tumblr comme un terrain d’expérimentation pour la photo. Double exposition, polas, portraits la tête en bas fleurissent sur son Tumblr. La lumière et les compositions ne sont pas encore vraiment maîtrisées mais ce n’est pas la motivation qui manque à Lisa, il suffit seulement d’un peu de temps.

tumblr_ns00mxCrkg1qfdjlao1_1280
© Lisa Otjacque
© Lisa Otjacques
© Lisa Otjacque
© Lisa Otjacques
© Lisa Otjacque

Explorez
Œuvres de fiction : la séance de rattrapage Focus !
© Henri Kisielewski
Œuvres de fiction : la séance de rattrapage Focus !
L’été et les vacances qui l’accompagnent s’imposent bien souvent comme un moment propice pour se laisser porter par des œuvres de...
24 juillet 2024   •  
Écrit par Fisheye Magazine
La sélection Instagram #463 : tout feu tout flamme
© Anass Ouaziz / Instagram
La sélection Instagram #463 : tout feu tout flamme
Le soleil brûle dans notre sélection Instagram de la semaine. Les flammes se déchaînent, les briquets s’allument, et les lueurs rouges...
16 juillet 2024   •  
Écrit par Marie Baranger
Archevêché by Fisheye : un bilan réjouissant
© Claire Jaillard
Archevêché by Fisheye : un bilan réjouissant
Le 6 juillet s’est clôturé la première semaine des Rencontres d’Arles 2024. À la cour de l’Archevêché, lieu historique du...
13 juillet 2024   •  
Écrit par Fisheye Magazine
Les images de la semaine du 01.07.24 au 07.07.24 : cap sur Arles !
© Joachim Haslinger, Tribute to Egon Schiele, 2022 courtesy www.atelierjungwirth.com
Les images de la semaine du 01.07.24 au 07.07.24 : cap sur Arles !
C’est l’heure du récap‘ ! Cette semaine, Fisheye se plonge dans la 55e édition des Rencontres d'Arles et revient sur quelques-unes de ses...
07 juillet 2024   •  
Écrit par Milena Ill
Nos derniers articles
Voir tous les articles
Jeux olympiques : ces séries de photographies autour du sport
© Cait Oppermann
Jeux olympiques : ces séries de photographies autour du sport
Ce vendredi 26 juillet est marqué par la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. À cette occasion, nous vous...
Il y a 8 heures   •  
Écrit par Fisheye Magazine
Transcendance par Kyotographie : promenade contemporaine au Japon
© Iwane Ai. A New River series, 2020. Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Transcendance par Kyotographie : promenade contemporaine au Japon
À l’occasion des dix ans du Festival, Kyotographie investit les Rencontres d’Arles pour la première fois. L’exposition...
Il y a 10 heures   •  
Écrit par Marie Baranger
À Arles, Jules Ferrini capture le noir solaire
© Jules Ferrini
À Arles, Jules Ferrini capture le noir solaire
À travers deux séries, Noires sœurs et Modern Sins, Jules Ferrini plie la lumière et le temps pour faire vibrer l’obscurité d’un...
26 juillet 2024   •  
Écrit par Hugo Mangin
Robin de Puy : partout, l’eau au centre du paysage
© Robin de Puy
Robin de Puy : partout, l’eau au centre du paysage
L'exposition Waters & Meer - Robin de Puy revient sur deux séries de la photographe néerlandaise. Un hommage aux populations rurales...
25 juillet 2024   •  
Écrit par Costanza Spina