Fisheye #53 est disponible en kiosque et sur le store ! Dans ce nouveau numéro, nous vous proposons d’étonnants récits. Ils vous transporteront sans nul doute dans des réalités aussi fascinantes que singulières…
« Quand un photographe raconte en image et en texte une histoire personnelle marquante, cela fait de lui bien plus qu’un collecteur de photos », écrit Benoît Baume, directeur de la rédaction et de la publication Fisheye, en guise d’introduction de notre 53e numéro. Au-delà de nous partager quelques fragments de leur existence, ces artistes de l’intime éveillent nos imaginaires. Et si d’éventuels manquements surviennent, spectateurs et spectatrices les pallient alors en s’immisçant dans ces récits aux accents parfois familiers.
Dans ce nouveau numéro, nous avons, comme à notre habitude, souhaité partager des récits incarnés. Luis Corzo revient ainsi sur l’effroyable kidnapping dont son père et lui ont été victimes lorsqu’il n’avait que 6 ans. Delvin Yalkin nous ouvre les portes d’un clan de vampires qu’il a pu infiltrer le temps d’une commande photographique. Il nous laisse alors entrevoir ce qu’il se passe dans ces réunions qui existent aux quatre coins du globe. Alisa Martynova a suivi le périple de migrants, souvent occulté par la profusion d’images qui saturent les médias et les aliènent d’autant plus. Lorenzo Castore esquisse pareillement le quotidien d’individus en marge des sociétés, celui des reines de Catane. Attiré par le burlesque, Robin Lopvet imagine d’étonnantes compositions tandis qu’Arko Datto immortalise un monde de la nuit tout aussi surprenant. Toutes ces histoires, plus audacieuses les unes que les autres, sont à découvrir entre les pages de notre dernière parution.
Fisheye #53 est disponible en kiosque et sur le store.
Image d’ouverture ©