Alla Chiara Luzzitelli : « Libération »

22 avril 2020   •  
Écrit par Anaïs Viand
Alla Chiara Luzzitelli : « Libération »

« Je m’appelle Alla Chiara. Je suis née en Russie et j’ai déménagée en Italie à mes 8 ans. Je me suis tournée vers le 8e art durant mon adolescence alors que je cherchais à communiquer mes pensées et mes sentiments, à m’épanouir. J’ai laissé tant de choses derrière moi, en Russie, et il me fallait comprendre », annonce l’artiste, aujourd’hui âgée de 22 ans. Très vite, la jeune femme a réalisé que pour mieux se connaître et découvrir son rôle dans la vie, il lui était nécessaire de travailler avec les émotions – les siennes ou celles des autres. « Quand j’ai commencé à produire, je souhaitais montrer la fragilité des êtres humains, à travers leurs histoires. Aujourd’hui, j’essaye de voir tout ce qui échappe à mes yeux de photographe. Je veux rendre compte de toutes les perspectives de la vie, de tous ces petits détails que l’on ne peut expliquer par nos sentiments ». Et dans cette approche, le corps et la nature ne font qu’un. « La nature est l’essence de la vie, et pourtant nous n’y prêtons pas attention. Je suis persuadée qu’elle pourrait nous apprendre beaucoup… », conclut Alla Chiara Luzzitelli.

© Alla Chiara Luzzitelli

© Alla Chiara Luzzitelli© Alla Chiara Luzzitelli
© Alla Chiara Luzzitelli© Alla Chiara Luzzitelli

© Alla Chiara Luzzitelli

© Alla Chiara Luzzitelli© Alla Chiara Luzzitelli
© Alla Chiara Luzzitelli© Alla Chiara Luzzitelli
© Alla Chiara Luzzitelli© Alla Chiara Luzzitelli

© Alla Chiara Luzzitelli

© Alla Chiara Luzzitelli

Explorez
La sélection Instagram #452 : la danse sous toutes ses formes
© Aleksander Varadian Johnsen / Instagram
La sélection Instagram #452 : la danse sous toutes ses formes
Cette semaine, les photographes de notre sélection Instagram capturent les corps – et même les éléments – qui dansent à en perdre...
30 avril 2024   •  
Écrit par Marie Baranger
Les coups de cœur #490 : Guillaume Nedellec et Simona Pampallona
© Guillaume Nedellec
Les coups de cœur #490 : Guillaume Nedellec et Simona Pampallona
Nos coups de cœur de la semaine, Guillaume Nedellec et Simona Pampallona, nous plongent tous·tes deux dans une esthétique en...
29 avril 2024   •  
Isabelle Vaillant : récits d’une construction intime
© Isabelle Vaillant
Isabelle Vaillant : récits d’une construction intime
Jusqu’au 19 mai 2024, la photographe Isabelle Vaillant investit L’Enfant Sauvage, à Bruxelles, en proposant une exposition rétrospective....
26 avril 2024   •  
Écrit par Costanza Spina
Elie Monferier : le filon au bout de l’échec
© Elie Monferier
Elie Monferier : le filon au bout de l’échec
Imaginé durant une résidence de territoire au cœur du Couserans, en Ariège, Journal des mines, autoédité par Elie Monferier, s’impose...
25 avril 2024   •  
Écrit par Lou Tsatsas
Nos derniers articles
Voir tous les articles
Les images de la semaine du 29.04.24 au 05.04.24 : un 8e art vivant
© Fanny Deniau El Maimouni
Les images de la semaine du 29.04.24 au 05.04.24 : un 8e art vivant
C’est l’heure du récap‘ ! Les photographes de la semaine s’exposent aux quatre coins de la France, mais aussi par-delà ses frontières. ...
05 mai 2024   •  
Écrit par Milena Ill
Albert Kahn et ses balades végétales
© Albert Kahn
Albert Kahn et ses balades végétales
Jusqu’au 30 décembre, le musée Albert Kahn présente une exposition de photographies du philanthrope, qui met en lumière sa passion pour...
04 mai 2024   •  
Écrit par Costanza Spina
Yelena Yemchuk : Odessa, ville enchantée
© Yelena Yemchuk
Yelena Yemchuk : Odessa, ville enchantée
En septembre 2022, l’artiste américano-ukrainienne Yelena Yemchuk publie Odessa aux éditions Gost Books. Hommage amoureux à la ville...
03 mai 2024   •  
Écrit par Milena Ill
Berlin, Robert Frank et portrait flou : dans la photothèque de Diane Meyer
© Diane Meyer
Berlin, Robert Frank et portrait flou : dans la photothèque de Diane Meyer
Des premiers émois photographiques aux coups de cœur les plus récents, les auteurices publié·es sur les pages de Fisheye reviennent sur...
03 mai 2024   •  
Écrit par Apolline Coëffet