Nous sommes en plein été, et le covid-19 a compromis vos plans d’escapades en terres lointaines ? Fisheye vous propose une sélection des séries les plus dépaysantes, pour voyager en images !
Jesse Rieser
Pour réaliser The star geezers, le photographe Jesse Rieser est parti à la rencontre d’une communauté de retraités passionnée par l’astronomie. Une série futuriste, prenant racine dans la culture américaine et la science-fiction.
© Jesse Rieser
Victoria E. Paternó
Photographe d’origine vénézuélienne, Victoria E. Paternó nous emmène en Méditerranée, là où la couleur azure de l’eau et les petits villages centenaires l’inspirent. En couleur comme en noir et blanc, elle collectionne des instants d’euphorie, et la beauté simple des paysages du sud.
© Victoria E. Paternó
Max Miechowski
Rêveur dans l’âme, Max Miechowski capture désormais son environnement, son quotidien. Baignés d’une lumière chaude, ses clichés révèlent la beauté et la diversité de Londres et ses alentours. Estival et pétillant, son travail se savoure comme une brise légère un jour caniculaire.
© Max Miechowski
Kin Coedel
Fasciné par le monde sauvage, Kin Coedel lui rend hommage dans ses images – jusqu’au moindre détail : d’une feuille posée avec délicatesse sur un visage, aux dégradés surnaturels d’une zone rocheuse. Délicats, ses portraits révèlent une quête d’honnêteté. Une connexion profonde entre les êtres qui conduit à un laisser-aller libérateur.
© Kin Coedel
Piero Percoco
« L’œil humain perçoit plus de nuances de vert que toute autre couleur », annonce Piero Percoco. Et justement, les couleurs ne manquent pas dans les créations de ce photographe italien. Tout comme Stephen Shore, Micheal Northrup et Guy Bolongaro, l’auteur réenchante la banalité.
© Piero Percoco
Esteban Vargas Roa
Inspiré par l’histoire de Nami, artiste japonaise et mère célibataire, Esteban Vargas Roa l’invite à découvrir son pays natal : le Chili. À travers Be Water, tous deux apprennent à se connaître et tissent des liens entre deux cultures étrangères.
© Esteban Vargas Roa
Alvaro Deprit
Avec SW, le photographe espagnol Alvaro Deprit fait le portrait de l’Andalousie – son Andalousie. Un territoire nourri par une histoire riche et des fantasmes d’enfants.
© Alvaro Deprit
Vincent Muller
À l’annonce du Covid-19, Vincent Muller arpentait les routes argentines, hors des circuits touristiques. « Étendues à perte de vue, bétails en liberté, fermes et « gauchos » (les cowboys argentins, ndlr)…j’ai trouvé des airs de Far West. Je souhaitais montrer dans ce carnet de voyage le western argentin tout en dressant un portrait authentique de ce pays que je visitais pour la première fois », confie l’artiste.
© Vincent Muller
Max Zerrahn
Dans son premier livre, Snake Legs 蛇足, Max Zerrahn s’inspire d’un proverbe ancestral pour illustrer le Japon de manière paisible et silencieuse. Entre banalités et poésie du quotidien, le photographe berlinois signe une monographie envoûtante où la redondance devient fascinante.
© Max Zerrahn
Arnaud Montagard
Installé à Brooklyn, le Français Arnaud Montagard étudie le concept du temps. Dans son premier livre, The Road Not Taken, l’artiste de 28 ans illustre une Amérique figée dans un nuancier de couleurs saturées. Un ouvrage vintage à contempler sans modération.
© Arnaud Montagard
Akasha Rabut
Death Magick Abundance
, le premier livre de Akasha Rabut, rend hommage à La Nouvelle-Orléans. Un travail ethnographique et culturel révélant les facettes d’un peuple pluriel.
© Akasha Rabut
Nicolas Boyer
Habitué des séries aussi esthétiques qu’incongrues, le photographe Nicolas Boyer, né en 1972, signe Iran(s), et capture les multiples visages d’une société dynamique, en quête de liberté.
© Nicolas Boyer
Image d’ouverture : © Arnaud Montagard