Au cœur des métropoles, des banlieues, de la nature ou même dans l’intimité de leur foyer, les photographes de notre sélection Instagram #318 recherchent la grâce et le raffinement dans l’ordinaire.
Sur le site de Max Wanger, on peut lire qu’il a fabriqué son premier appareil photo avec du papier et du scotch lorsqu’il avait sept ans. Il semblerait que cette âme d’enfant n’ait jamais quitté le photographe dont les images, qui célèbrent la simplicité, sont toujours empreintes de douceur et de candeur.
© Max Wanger / Instagram
Des clichés marqués par le passage du temps, mais aussi par des passants, des détails volatils, éternisés en l’espace d’un instant, définissent le travail de Sarah van Rij. Le mouvement, omniprésent, ne donne que peu de place aux visages. Il est ainsi plus aisé de s’identifier à la poésie d’une beauté fugitive, que la photographe rend pourtant captive.
© Sarah van Rij / Instagram
@pazolivaresdroguett
Venue de Valparaíso, au Chili, Paz Olivares-Droguett dévoile sur Instagram son univers. Un espace coloré par des tons pastel, où se croisent portraits, scènes du quotidien, instants d’intimité et mises en scène délicates. Une plongée d’où l’on sort apaisés.
© Paz Olivares-Droguett / Instagram
@zackyanko
Banlieues pavillonnaires, rues désertes, paysages nocturnes… Sur le compte Instagram de Zachary Yanko, photographe installé à Pittsburgh, les nuits se transforment en décors mystérieux, théâtres de nombreux récits fantastiques.
© Zachary Yanko / Instagram
@unlicensed.lensed
Au cœur de la galerie numérique de Manuel Sieber, « architecte de lumière », la couleur n’existe pas. À la place se trouve un monde urbain graphique et minimaliste, ponctué par des silhouettes solitaires et illuminé par des clairs-obscurs dramatiques. Une collection des plus raffinées.
© Manuel Sieber / Instagram
Image d’ouverture : © Paz Olivares-Droguett / Instagram