Couleurs vibrantes ou noir et blanc, street photography ou portraits décalés… Cette semaine, les photographes de la sélection Instagram #341 nous emmènent dans leurs univers singuliers.
@jangoxsu
La galerie de Jang Oksu, photographe de mode de formation, est pareille à une vitrine gelée. Le papier glacé a substitué une infinité de vignettes aux teintes blanches ou bleutées dans lesquelles se meuvent des individus. Entre les fleurs ou la neige, chacun dissémine les traces de son passage, instant figé à jamais par l’image.
© Jang Oksu / Instagram
@edoasoulin
Tantôt cynique, tantôt burlesques les images d’Edo Asoulin dévoilent des portraits pop et acidulés. Dans sa galerie Instagram, les couleurs comme le noir et blanc nous propulsent vers son univers éclectique.
© Edo Asoulin / Instagram
@alexblancofoto
D’origine ukrainienne et brésilienne, Alex Blanco développe un style intuitif et guidé par de multiples influences. Jonglant sans cesse entre du nu cru et des natures mortes visqueuses, elle invite le spectateur à s’immerger dans son monde chargé d’émotions brutes, divergentes. Perçu comme un lieu où les « souvenirs du passé interagissent avec ses expériences présentes », son œuvre se veut résonner au-delà du temps.
© Alex Blanco / Instagram
@martinsalterstudio
Martin Salter se plaît à arpenter le Royaume-Uni pour en exhumer les vestiges d’un passé pas si lointain. Nostalgique des « âges d’or » qui suivent les périodes de conflits, l’artiste cherche à assouvir une quête. Celle de la légèreté qui imprègne certains lieux et teinte nos souvenirs d’une douceur mélancolique.
© Martin Salter / Instagram
@arturobinewski
Établi à Metz, Vincenzo Barone nous conte des récits urbains. Il se délecte des ombres portées par les mouvements perpétuels des marcheurs citadins. En parcourant la galerie Instagram de l’artiste italien, on suit les échanges furtifs avec ses modèles, qui ne font que passer devant son objectif.
© Vincenzo Barone / Instagram
Image d’ouverture © Edo Asoulin / Instagram