Cette semaine, les comptes de notre sélection Instagram #381 naviguent entre intime et documentaire. Compositions florales, portraits nigérians ou encore surimpressions surréalistes, chacun y trouvera son compte !
@ebenezerokike
puissants et architectures nigérianes constituent la majeure partie des travaux d’Ebenezer Okike. Le photographe basé à Lagos capte ainsi la beauté qui l’entoure, qu’elle se trouve dans les courbes d’un corps, la grâce d’un geste ou les décors naturels et urbains.
© Ebenezer Okike / Instagram
@adeleprieur
Colorée et éclectique. Ainsi pourrait se résumer l’œuvre d’Adèle Prieur, où se mêlent des compositions florales pareilles à des peintures, des portraits estivaux et des commandes pour divers accessoires de mode.
© Adèle Prieur / Instagram
@couinemai
Julia Lê mêle les portraits touchants de ses proches à des clichés variés de ce qui l’émeut. En plus de révéler l’intime, la franco-américaine s’essaye au documentaire – elle qui travaille actuellement à des séries autour des asio-descendant.e.s en France – et travaille également sur la notion de mémoire collective.
© Julia Lê / Instagram
@severine.godissart
Sèverine Godissart manie l’autoportrait, au fil de silhouettes évanescentes qui se superposent à des éléments naturels en tous genres. La française nous emmène ainsi dans son univers, en direction des astres, au beau milieu de ses songes.
© Sèverine Godissart / Instagram
@beatrizboblitz
Les portraits et photographies de rue de Beatriz Boblitz proposent des scènes à la fois cinématographiques et épurées. Originaire de Fortaleza, la photographe de 27 ans transite entre l’image documentaire, l’urbain et le photojournalisme.
© Beatriz Boblitz / Instagram
Image d’ouverture © Adèle Prieur / Instagram