Voilà un compte énigmatique dont on ne connait qu’une chose : ses photos, prises dans le monde entier, sont postées depuis Oakland en Californie. Son auteur joue avec les lignes, les courbes et fond ses personnages dans le décor. Prometteur.
Emanuele, 37 ans, ne jurait que par l’économie et son métier d’analyste de crédit jusqu’à ce qu’il découvre le monde de la photo à travers Instagram. Son dada ? La street photography et depuis le début de l’été, la photo de plage, jamais ennuyeuse et toujours très esthétique.
Encore un compte mystérieux dont l’auteur tient à rester secret. Restent ses photos sobres et délicates, à l’argentique, empreintes de poésie où les visages sont absents.
Los Angeles sur pellicule. En noir et blanc ou en couleur, dans des motels et des drive-ins, on redécouvre l’imagerie de la culture américaine. Idéal pour s’évader en attendant les vacances.
À Londres, Arianna vit de ses commandes de mode pour Vogue ou d’autres grands magazines et expérimente, dans son temps libre, la photo de voyage. Les bizarreries du quotidien sont sa première source d’inspiration et on apprécie particulièrement ses photos aux tons très doux.
On sent très vite que Brian Ferry est inspiré par William Eggleston. Il capture, en argentique, une jolie lumière sur les façades d’un bâtiment ou les détails d’une scène auquel personne d’autre n’aurait prêté attention dans des compositions très minimalistes.