Les expériences photographiques de Guoman Liao
« Je puise mon inspiration dans les arts : la peinture, la musique, la sculpture ou encore le cinéma »,
confie Guoman Liao. Fasciné par le processus de création, le photographe aime expérimenter.
© Guoman Liao
« Garden of delight » : Dubaï la décadence s’expose
À l’occasion d’ImageSingulières, nous avion découvert Garden of delight de Nick Hannes. Une série réalisée à Dubaï, dans laquelle le photographe livre sa vision d’une société basée sur le divertissement et l’exploitation.
© Nick Hannes
La photographie, une thérapie visuelle
Née en 1992, la portraitiste américaine Shelbie Dimond perçoit le medium photographique comme un refuge. Après avoir quitté la communauté de Témoins de Jéhovah qui l’a vue grandir, l’artiste a exploré les répercussions d’une telle éducation à travers l’image. Rencontre avec une auteure déterminée.
© Shelbie Dimond
L’insoutenable légèretéde Mous
, 36 ans, vit en Belgique. Il pratique la photo de mode et n’hésite pas à en détourner les codes, comme en témoignent ses productions décalées et humoristiques sur sa page Instagram. Cet article était présenté dans Fisheye #38.
© Mous Lamrabat
Leah Edelman-Brier : une autre beauté
Dans Body Becoming, un projet intime mettant en scène sa propre famille, la photographe américaine Leah Edelman-Brier interroge notre relation au corps et à la beauté.
© Leah Edelman-Brier
« Personne ne semble croire que le gouvernement britannique
sépare parents et enfants »
, artiste visuel installé à Bristol, a présenté, dans le cadre de la Carte Blanche étudiants de Paris Photo, un projet extrêmement personnel. Dans C-R92/BY, il dénonce la politique migratoire britannique qui sépare des familles – et peut-être la sienne. Entretien.
© Samuel Fordham
Des poupées et des hommes
En France, plus de 4 000 personnes vivent avec des poupées de silicone grandeur nature. Pour comprendre ce phénomène, le photographe Vincent Muller a suivi pendant près d’un an quelques-uns de ces « doll lovers ». Cet article, rédigé par Maxime Delcourt, était présenté dans Fisheye #35.
© Vincent Muller
Steph Wilson : « Sexe, femme, colère et méchanceté »
Installée en Angleterre, la photographe et peintre Steph Wilson a installé son studio dans une ancienne église, abritant plus de 600 plantes. Passionnée par la nature et les animaux, l’artiste s’en inspire pour la réalisation de ses images. Si elle souffre de troubles anxieux, Steph Wilson s’est tourné vers le 8e art pour apprendre à contrôler ses émotions.
© Steph Wilson
« Ils conduisaient toujours les mêmes scooters »
Le photographe documentaire signe The Scooter Club, une série réalisée avec les membres du « Cloud 9 Scooter Club », encore fidèles à leurs rêves de jeunesse. Entretien.
© Craig Easton
« Un espace où la mort peut exister »
À la mort de son père, la photographe Ioanna Sakellaraki est retournée dans son pays natal, la Grèce, jusqu’à la péninsule de Magne, à la recherche de représentations du deuil. Dans The truth is in the soil, récit abstrait inspiré par les complaintes grecque, elle interroge les notions d’absence, de présence et de fiction liées à la mort, cette entité mystérieuse.
© Ioanna Sakellaraki
Et si on décrochait ?
Le photographe canadien Ryan Duffin réinvente l’imagerie des téléphones des années 2000 à travers sa série Information Super Highway. L’occasion de réfléchir à l’omniprésence des smartphones dans nos sociétés.
© Ryan Duffin
Un ouvrage pour comprendre les photographes
La docteure en esthétique Muriel Berthou Crestey a rencontré vingt-quatre photographes afin de déceler les mystères propres à leur processus de création. Il en résulte un ouvrage de référence, Au cœur de la création photographique, publié aux éditions Ides et Calendes.
© Jean-Christian Bourcart
Jerry Pigeon : à la recherche de l’émotion
Dans ses commandes comme dans ses travaux personnels, Jerry Pigeon recherche l’émotion, privilégiant une approche minimaliste et une lumière naturelle. « Celle-ci m’inspire parfois plus que le sujet lui-même », précise-t-il. Au cours de ses explorations visuelles, l’artiste joue avec les couleurs et les noirs et blancs, et déconstruit le médium.
© Jerry Pigeon
Thank you mum
Que faire lorsqu’on se retrouve face à un destin que l’on sait déjà sombre ? Réaliser des images. Depuis décembre 2017, Charlotte Mano, 28 ans, photographie sa mère atteinte d’une maladie incurable. Elle a signé avec Thank you mum, une série pudique et poignante.
© Charlotte Mano
La street photography de Roger Bucher
Dans mon travail, les lieux, les gens perdent de l’importance au profit de la liberté et de l’indépendance »,
confie Roger Bucher. Pour lui, la street photography s’impose comme une source infinie d’inspiration. Un moyen d’immortaliser sa propre vision du monde.
© Roger Bucher
Image d’ouverture © Ryan Duffin