« Accompagnée de mes appareils photo depuis l’adolescence j’essaye de révéler la poésie du quotidien, la captation d’un instant fugace que j’ai eu le privilège d’apercevoir par accident ou que j’ai tenté de provoquer par un travail de composition. »
Nina est une jeune photographe serbe qui a fait ses armes dans une école de graphisme. Parce qu’elle utilise un boitier argentique, Nina choisit ses modèles attentivement et prend le temps de penser sa composition avant de déclencher. Le résultat s’en ressent: la même douceur émane de chacune de ses images. Dans sa galerie, le temps semble suspendu.
Claire a découvert l’argentique il y a quelques mois seulement. Une chose est sûre: son regard très doux pallie largement les lacunes techniques. Elle nous explique: « Je m’essaye à saisir les ambiances, à garder une trace des lieux et des instants de mon quotidien.»