S’il y a encore quelques maladresses dans le travail d’Alejandro, il se dessine pourtant dans ses clichés une rigueur, une obsession du point fixe, du détail presque avalé par l’image.
Le regard d’Edouard est porté sur les lignes et la symétrie des choses. Il est affût d’une harmonie aussi bien dans les formes que dans les couleurs. Et en plus, il nous fait voyager !
Cette jeune photographe amateur d’origine espagnole applique ce que l’on pourrait appeler une pratique rationnelle de la photographie : le photographe n’est-il pas son meilleur sujet de réflexion, l’être le plus accessible ? Descartes écrivait “je pense donc je suis“. Ici, la pensée se substitue à la photographie.