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C’est l’heure du récap ! À l’occasion des Rencontres d’Arles, nous avons sélectionné une série d’expositions, aux sujets et pratiques disparates, à ne pas manquer cette année. Pour en savoir plus, suivez le guide !
Alors que la semaine d’ouverture des Rencontres d’Arles s’achève en ce jour, l’heure est au récapitulatif. De fait, depuis lundi, la rédaction de Fisheye sillonne la ville à la recherche des plus belles expositions à découvrir jusqu’au 5 octobre prochain. Si nos coups de cœur vous donnent déjà un aperçu de la programmation de cette 56e édition, nous revenons en détail sur certains accrochages. Les amateurs de mode et d’histoire du 8e art apprécieront ainsi Yves Saint Laurent et la photographie, présenté à la Mécanique générale. Sur les cimaises se contemplent de superbes tirages signés par de grands noms du siècle passé. Avec Danser sur les cendres (Faire feu), Lila Neutre transforme la Maison des peintres en piste de danse. À travers ses images, elle donne notamment à voir des membres de la communauté LGBTQIA+ s’adonner au voguing. Dans un tout autre registre, Vague rend hommage à l’œuvre de Kikuji Kawada au moyen d’une rétrospective, produite par Kyotographie et Sigma, qui immerge le public dans le Japon d’après-guerre.
Brésil et famille
Parmi les grands thèmes de cette édition 2025 se compte le Brésil, qui est mis à l’honneur aux côtés de l’Australie. Dans un article à retrouver dans Fisheye #72, nous relevons ainsi les expositions qui s’intéressent aux problématiques qui traversent ce territoire. La famille s’impose tout autant comme un sujet phare du festival. À Ground Control, dans À la recherche du père, Camille Lévêque sonde, par exemple, les notions de transmission et de mémoire en décortiquant la figure paternelle. Au moyen de documents d’archives, de campagnes publicitaires détournées, de témoignages en tout genre ou encore de photographies personnelles, l’artiste en offre finalement un portrait protéiforme. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.