Theo Elias : « Smoke »

16 mars 2018   •  
Écrit par Anaïs Viand
Theo Elias : « Smoke »

« Lorsque j’étais adolescent, je me suis aperçu que ma vie et mes souvenirs m’échappaient. » Theo Elias, 32 ans, a commencé à prendre des photos à cause de sa mauvaise mémoire. Le médium est un excellent outil pour se plonger dans tout ce qu’il aime : « la mer, les arbres étranges, les bars, les promenades, les maisons, les températures froides, les oiseaux, la musique et les gens – en fait, j’aime les gens », confie l’artiste suédois. En 2011, il quitte sa vie de tous les jours et s’envole pour l’Islande, seul, durant quatre semaines. Là-bas, il découvre un paysage plus qu’inspirant : « Au cours des six années qui ont suivi, j’y suis retourné plusieurs fois et la fascination est devenue obsession », raconte Theo. On retrouve dans ce travail des paysages embrumés mais aussi des portraits poignants d’inconnus rencontrés en fumant une cigarette dans la cour arrière d’un bar.

© Theo Elias
scan20170914_ 002
© Theo Elias
scan20170513_ 019
© Theo Elias
scan20170505_ 001
© Theo Elias
scan20170405_ 017
© Theo Elias
scan20170505_ 021
© Theo Elias

© Theo Elias

© Theo Elias© Theo Elias

© Theo Elias© Theo Elias© Theo Elias© Theo Elias© Theo Elias© Theo Elias

Explorez
Sarah Moon, expérimentations et ville engloutie : dans la photothèque de Sophie Alyz
Un ou une artiste que tu admires par-dessus tout ? © Sophie Alyz
Sarah Moon, expérimentations et ville engloutie : dans la photothèque de Sophie Alyz
Des premiers émois photographiques aux coups de cœur les plus récents, les artistes des pages de Fisheye reviennent sur les œuvres et les...
13 août 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet
Dans l'œil de Jonathan Chandi : un clip dans un monde parallèle
© Jonathan Chandi
Dans l’œil de Jonathan Chandi : un clip dans un monde parallèle
Aujourd’hui, plongée dans l’œil de Jonathan Chandi, photographe autodidacte belge. L’artiste réinterprète avec une grande délicatesse et...
11 août 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Les images de la semaine du 4 août 2025 : revoir le monde
Metropolis III, 1987 © Beatrice Helg
Les images de la semaine du 4 août 2025 : revoir le monde
C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les photographes de Fisheye nous invitent à porter un autre regard sur le monde selon des...
10 août 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet
Béatrice Helg : la musique du silence
Éclats IV, 2013 © Beatrice Helg
Béatrice Helg : la musique du silence
Au musée Réattu d’Arles, dans la fraîcheur d’une ancienne commanderie de chevaliers, le silence devient matière. Jusqu’au 5 octobre 2025...
05 août 2025   •  
Écrit par Benoît Baume
Nos derniers articles
Voir tous les articles
On Country :  entendre la terre
© TonyAlbert&David Charles Collins Brittany Malbunka Reid, Warakurna Superheroes #6 2017 Superheroes 2017. Courtesy and Sullivan + Strumpf.
On Country : entendre la terre
À Arles, On Country explore le lien vital entre terre, mémoire et futur. Cette plongée sensible dans la photographie australienne...
Il y a 8 heures   •  
Écrit par Fabrice Laroche
Fabiola Ferrero : des abeilles et des hommes
I Can’t Hear the Birds © Fabiola Ferrero
Fabiola Ferrero : des abeilles et des hommes
La photographe et journaliste Fabiola Ferrero retourne au Venezuela et ravive la mémoire collective de son pays qui entre 2014 et 2020 a...
14 août 2025   •  
Écrit par Lou Tsatsas
Sarah Moon, expérimentations et ville engloutie : dans la photothèque de Sophie Alyz
Un ou une artiste que tu admires par-dessus tout ? © Sophie Alyz
Sarah Moon, expérimentations et ville engloutie : dans la photothèque de Sophie Alyz
Des premiers émois photographiques aux coups de cœur les plus récents, les artistes des pages de Fisheye reviennent sur les œuvres et les...
13 août 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet
Du silence aux images : le mentorat des Filles de la photo
© Claire Delfino
Du silence aux images : le mentorat des Filles de la photo
Quand la photographie devient le lieu d’un tissage mémoriel, politique et sensible, le mentorat des Filles de la Photo affirme toute sa...
12 août 2025   •  
Écrit par Costanza Spina