Un takeover animé par Maud Chalard & Théo Gosselin !

20 avril 2020   •  
Écrit par Anaïs Viand
Un takeover animé par Maud Chalard & Théo Gosselin !

Jusqu’au 23 avril, Fisheye confie son compte Instagram à Maud Chalard & Théo Gosselin. Le couple de photographes animera le takeover durant quatre jours. Une belle occasion de revenir sur leurs productions et de découvrir leurs auteurs préférés.

Théo

, Maud et Fisheye, c’est une longue histoire. La rédaction a embarqué dans l’univers de ces deux photographes dès le premier numéro du magazine : le couple de photographes avait signé la couverture. Et depuis, les deux amoureux ne cessent de voyager, de nous parler d’amour et de titiller notre imagination. Cette semaine, ils assurent le takeover du compte Instagram Fisheye. Comme Boby, Charlotte Abramow, et Delphine Diallo, ils présenteront leurs images coups de cœur et reviendront sur leur clichés iconiques.

 

© Maud Chalard & Théo Gosselin

« Tout d’abord un grand merci à Fisheye qui depuis des années nous suit, nous aide dans nos projets et nous donnent la parole. C’est une longue histoire d’amour qui s’est créée entre le magazine et nous et ce n’est pas prêt de s’arrêter. En parlant d’histoire d’amour, nous partageons nos vies aussi, depuis 7 ans maintenant. Amoureux et photographes, nous traversons la vie avec la chance de vivre de notre passion, de s’aider, et de grandir ensemble – avec les mêmes rêves et les mêmes envies. Photographe est un métier assez solitaire et avoir trouvé notre meilleur allié qui comprend et ressent les mêmes émotions constitue la plus belle chose au monde. Nos images sont imprégnées de notre histoire, de nos voyages et de l’amour que l’on partage.» – Maud

© Maud Chalard & Théo Gosselin

« L’une des choses les plus importante que possède chaque être humain ? L’imagination. J’aime faire des images qui permettent à chaque personne de s’imaginer l’histoire qu’il y a derrière. Et pour cela, je donne aux spectateur une multitude d’éléments et d’indices (musicales, temporelles, ou encore idéologiques) pour les guider et les influencer dans la création de leur propre vision des images.Il m’est très important de faire parler mes photos sans avoir besoin d’écrire de légende, ni de glisser toutes les choses qui me sont chères, toutes les choses qui font ce que je suis.La chose primordiale dans mon approche ? L’esthétisme, j’aime quand une photo est belle et se suffit à elle même, sans blabla superflu et long discours. J’aime qu’elle mélange mes passions à une palette d’émotions humaines, et qu’elle intègre du cinéma, beaucoup de cinéma, de la musique, énormément de musique, des couleurs, des textures, de l’action, des ciels, de la ville, de la nature, du rêve, de l’espoir, de l’amour, du bonheur, de la depression, de la peur, de la nostalgie, de l’amitié, des vices, de la tendresse… Tout ses petits éléments que chaque être humain sait ressentir, sans avoir besoin d’avoir fait 16 ans d’histoire de l’art. Et puis c’est l’occasion pour moi de créer des souvenirs extraordinaires avec les gens que j’aime. » – Théo

© Maud Chalard & Théo Gosselin

Explorez
Mouche Books édite son premier livre photo-poésie Selfportraits
© Lena Kunz
Mouche Books édite son premier livre photo-poésie Selfportraits
La revue Mouche, qui fait dialoguer le 8e art avec la poésie depuis quatre ans, lance sa maison d’édition Mouche Books avec comme premier...
Il y a 6 heures   •  
Écrit par Marie Baranger
Corps, catch et injonctions : la séance de rattrapage Focus
©Théo Saffroy / Courtesy of Point Éphémère
Corps, catch et injonctions : la séance de rattrapage Focus
Les photographes des épisodes de Focus sélectionnés ici révèlent les corps et dénoncent les injonctions que nous leur collons. Ils et...
26 novembre 2025   •  
Écrit par Fisheye Magazine
Dans l’œil de Naïma Lecomte : rendez-vous au bord de l’eau après les cours
© Naïma Lecomte / Planches Contact Festival
Dans l’œil de Naïma Lecomte : rendez-vous au bord de l’eau après les cours
Cette semaine, nous vous plongeons dans l’œil de Naïma Lecomte. Jusqu’au 4 janvier 2026, l’artiste présente Ce qui borde à Planches...
24 novembre 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet
Les coups de cœur #566 : Lalitâ-Kamalâ Valenta et Kordélia Phan
© Lalitâ-Kamalâ Valenta
Les coups de cœur #566 : Lalitâ-Kamalâ Valenta et Kordélia Phan
Lalitâ-Kamalâ Valenta et Kordélia Phan, nos coups de cœur de la semaine, documentent des univers spécifiques. La première s’intéresse à...
24 novembre 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet
Nos derniers articles
Voir tous les articles
Mouche Books édite son premier livre photo-poésie Selfportraits
© Lena Kunz
Mouche Books édite son premier livre photo-poésie Selfportraits
La revue Mouche, qui fait dialoguer le 8e art avec la poésie depuis quatre ans, lance sa maison d’édition Mouche Books avec comme premier...
Il y a 6 heures   •  
Écrit par Marie Baranger
Victor Gassmann : « Je crois en la matière »
Affiche Pictorial Service rue de la Comete 1950 © Archives Picto
Victor Gassmann : « Je crois en la matière »
Arrière-petit-fils de Pierre Gassmann, Victor Gassmann veille sur l’héritage de Picto, laboratoire emblématique qui a façonné le tirage...
Il y a 11 heures   •  
Écrit par Fabrice Laroche
Corps, catch et injonctions : la séance de rattrapage Focus
©Théo Saffroy / Courtesy of Point Éphémère
Corps, catch et injonctions : la séance de rattrapage Focus
Les photographes des épisodes de Focus sélectionnés ici révèlent les corps et dénoncent les injonctions que nous leur collons. Ils et...
26 novembre 2025   •  
Écrit par Fisheye Magazine
Le 7 à 9 de Chanel : Viviane Sassen, l’ombre comme seconde peau
© Viviane Sassen
Le 7 à 9 de Chanel : Viviane Sassen, l’ombre comme seconde peau
Nouvelle invitée du 7 à 9 de Chanel au Jeu de Paume, Viviane Sassen a déroulé le fil intime et créatif de son œuvre au cours d’une...
25 novembre 2025   •  
Écrit par Cassandre Thomas