Pour sa première exposition londonienne, la photographe néerlandaise Margaret Lansink puise son inspiration dans la célèbre phrase de Simone de Beauvoir : « A movement of becoming, eternal becoming. » Elle compose des autoportraits poétiques et minimalistes pour traduire ses émotions, ses doutes, ses réflexions et les difficultés auxquelles elle fait face. L’utilisation de techniques argentiques et d’expérimentations, telles que le collage, l’utilisation de la peinture ou de feuille d’or, lui permet de capturer l’atmosphère onirique de ses sentiments les plus intimes sur la surface plane du papier.
À lire aussi
06:33
© Fisheye Magazine
C’est l’heure du rendez-vous Focus ! Cette semaine, Margaret Lansink illustre, à l’aide de photographies inspirées par la technique…