C’est l’heure du récap’ ! Pour cette semaine, direction le Sud tout d’abord. Visa pour l’image tient sa promesse d’une programmation éclectique et engagée, et mettra à l’honneur, en septembre, le débat autour de la question de l’intelligence artificielle. Dans un genre proche du documentaire, Paola Paredes revient sur l’une de ses photographies, à l’apparence cinématographique, qui dénonce de manière frontale les pratiques de thérapies de conversion. Plus fantasmagorique, Maria Lax tisse dans notre dernier Focus un récit passionnant autour d’ovnis métaphoriques, entremêlé avec une enquête sur sa famille et son pays – la Finlande. Plongez également dans la fascinante étrangeté de l’univers de Chris Mann, qui prive le désert de ses couleurs pour mieux nous entraîner au cœur d’un imaginaire jouxtant la science-fiction. Délicatesse et théâtralité sont à retrouver également dans les œuvres d’Annabelle Foucher, mais aussi du Vietnamien Chiron Duong, qui en estompant les frontières corporelles et formelles, ouvre le regard sur une esthétique novatrice. L’article est à retrouver dans le Fisheye #59, et son exposition à la Fisheye Gallery à partir du 23 mai ! Chaque image raconte une histoire, il faut cliquer sur les légendes pour les découvrir.
L’actualité : le festival Visa pour l’image revient sur l’ensemble des évènements de cette année | © Emily Garthwaite / Institute
L’histoire : Paola Paredes commente une photographie de sa série Until You Change | © Paola Paredes
L’histoire : Maria Lax nous parle d’ovnis dans Some Kind of Heavenly Fire, un projet intriguant | © Fisheye Magazine
L’histoire : Chris Mann part d’un désert monochrome pour s’évader dans la science-fiction | © Chris Mann
C’est dans le mag : Chiron Duong fait danser les étoffes et les couleurs à la Fisheye Gallery | © Chiron Duong
Image d’ouverture : © Chiron Duong