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C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les photographes témoignent de la vie quotidienne et jouent avec la plasticité de leurs images.
Cette semaine, les photographes publiés sur Fisheye donnent à voir des bribes d’existence. À travers Twist, Grade Solomon s’intéresse à ces éléments qui sont à la fois familiers et étranges. À cet effet, il entremêle des compositions monochromes qu’il a réalisées entre 2019 et 2025. Au Pavillon populaire de Montpellier, Raymond Depardon délaisse la pratique en noir et blanc qui a fait sa renommée pour dévoiler Extrême Hôtel. Cette exposition, qui fait la part belle à la couleur et retrace ses errances, est à découvrir jusqu’au 12 avril 2026. Grégoire Beraud immortalise les membres de la communauté Matsigenka, en Amazonie péruvienne, dans sa série Kípatsi. Au fil de ses images, il documente leur mode de vie et la relation qu’ils entretiennent avec la nature.
Expériences créatives
À la suite d’une résidence aux Arts décoratifs, Guénaëlle de Carbonnières a imaginé Dans le creux des images. Présentée jusqu’au 1er février 2026, il s’agit de la première exposition du musée à dévoiler un travail d’artiste réalisé à partir de ses collections photographiques. Dans un article à retrouver en intégralité dans Fisheye #74, la plasticienne nous parle, aux côtés de Sébastien Quéquet, attaché de conservation, de cette expérience créative. Enfin, notre sélection Instagram de la semaine rassemble des auteurs qui jouent avec la texture, la distorsion ou encore le collage afin d’élaborer des œuvres étonnantes. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.