À travers portraits ou paysages, les photographes de notre sélection Instagram #312 ne cessent d’expérimenter. Tous cherchent, par le prisme du médium, de nouvelles textures et émotions.
@theogeorgesserisier
Entre portraits, street photo et expérimental, Théo Goerges-Serisier perçoit le 8e art comme un mode de recherche. L’artiste oscille entre photographie sinistre, réfléchie, et prise de vue spontanée.
© Théo Goerges-Serisier / Instagram
@josefball
Jospeh Ball remue ciel et terre à la recherche des paysages les plus époustouflants. Le photographe capture des détails, des portions de sa vision qu’il peut nous transmettre grâce au médium.
© Joseph Ball / Instagram
@elkbeing
L’artiste dont on ne connaît que le prénom – Anastasia – travaille avec à l’argentique pour élaborer ses créations. Cette expérimentation lui permet d’obtenir une esthétique rétro, aux airs nostalgiques, mais surtout uniques.
© @elkbeing / Instagram
@rachaelbpolaroids
Autre recherche : le travail au Polaroïd de Rachael Baez. La photographe part en quête du singulier, de l’émotion, là où nous ne les cherchons pas forcément. Les silhouettes nous rappellent que son travail ne provient pas seulement de ses songes, mais qu’il s’inscrit aussi dans la réalité.
© Rachael Baez / Instagram
@eliottdesousa
Flous de mouvement, LED, visages cachés, voilà ce qui anime la galerie digitale d’Eliott De Sousa. L’artiste installé à Paris utilise le portrait comme moyen de transmission des émotions qu’il dérobe à ses mannequins.
© Eliott De Sousa / Instagram
Image d’ouverture : © Joseph Ball / Instagram