La sélection Instagram #447 : manipulation sur Polaroïds

26 mars 2024   •  
La sélection Instagram #447 : manipulation sur Polaroïds
© Lenny Gerard Behar / Instagram

Cette semaine, notre sélection Instagram est dédiée à un format particulier : le Polaroïd, ainsi qu’aux nuances qu’il permet aux artistes. Expérimentations à l’eau, au feu, à la peinture et autres matériaux, tous et toutes ne cessent d’expérimenter pour nous présenter des œuvres singulières.

@tribanana

Cette artiste macédonienne passionnée par le Polaroïd, immerge les regardeur·euses dans un monde peuplé de créatures oniriques. L’Œuvre de Martina Pavloska est le fruit d’une démarche expérimentale : elle peut aussi bien tremper ses clichés dans des liquides et se laisser surprendre par le résultat, que peindre dessus à l’aquarelle. L’objectif ? Obtenir des résultats colorés aux formes surnaturelles.

© Martina Pavloska / Instagram
© Martina Pavloska / Instagram

@les_polas_de_sophie

Sophie Loustau esquisse, depuis quelques années, un chemin imaginaire au Polaroïd, jalonné d’autoportraits, de fleurs, de paysages ou d’objets du quotidien. Un périple souvent mis en scène pour nous aider à mieux plonger dans son univers.

© Sophie Loustau / Instagram
© Sophie Loustau / Instagram

@lenny__gerard

Collage, dessin, peinture, découpage, assemblage et agencement schématique de fragments… Pour @lenny__gerard, tous les moyens sont bons pour créer une nouvelle narration visuelle étonnante ou conférer un aspect surréaliste à ses images. Ce travail conceptuel nous invite à changer notre façon de penser et de voir le monde.

© Lenny Gerard Behar / Instagram
© Lenny Gerard Behar / Instagram

@bettysuelovespolaroids

À travers l’usage de films périmés, d’une palette de couleurs sombres, de collages introduisant des éléments iconographiques qui renvoient au monde de l’horreur : ectoplasmes, maison hantée, villes fantômes et autres poupées, Cory propose un travail aussi original qu’effrayant.

© Cory / Instagram
© Cory / Instagram

@lisatoboz

Lisa Toboz est une artiste autodidacte américaine dont l’œuvre se compose essentiellement de fragments narratifs. Ses Polaroïds jouent avec les ombres, les lumières, les flous ainsi que les autoportraits et les natures mortes. Le tout nous baigne dans une atmosphère à la fois lugubre et rêveuse. 

© Lisa Toboz / Instagram
© Lisa Toboz / Instagram
À lire aussi
La sélection Instagram #446 : une dose de vitamines
© Ritika Singh / Instagram
La sélection Instagram #446 : une dose de vitamines
Pour compenser un ensoleillement exceptionnellement déficitaire dans tout l’hexagone, et mettre un peu de soleil dans nos cœurs, les…
19 mars 2024   •  
La sélection Instagram #445 : l'humain face au reste
© Aletheia Casey / Instagram
La sélection Instagram #445 : l’humain face au reste
En écho avec la parution de notre dernier numéro, qui donne à penser notre rapport à l’environnement au gré de ses changements, notre…
12 mars 2024   •  
Explorez
La sélection Instagram #535 : surfaces texturées
© Laura Barth / Instagram
La sélection Instagram #535 : surfaces texturées
Les artistes de notre sélection Instagram de la semaine explorent la matérialité de la photographie. Du papier aux émulsions, en passant...
02 décembre 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Twin Peaks, ambiguïté et nature morte : dans la photothèque de Stan Desjeux
Si tu devais ne choisir qu’une seule de tes images, laquelle serait-ce ? © Stan Desjeux
Twin Peaks, ambiguïté et nature morte : dans la photothèque de Stan Desjeux
Des premiers émois photographiques aux coups de cœur les plus récents, les artistes des pages de Fisheye reviennent sur les œuvres et les...
01 décembre 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Fury, l'univers « crépusculaire » de Marie Quéau
Sans titre #90, Campus Univers Cascades, 2023, extrait de la série Fury, Courtesy Galerie Les filles du calvaire, Paris © Marie Quéau / ADAGP, Paris, 2025
Fury, l’univers « crépusculaire » de Marie Quéau
Jusqu’au 8 février 2026, Marie Quéau, cinquième lauréate du prix Le Bal/ADAGP de la Jeune Création, présente Fury. Dans cette exposition...
29 novembre 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Éternel été, mémoire et masculinité : nos coups de cœur photo de novembre 2025
Red Is Over My Lover. Not Anymore Mi Amor © Laura Lafon
Éternel été, mémoire et masculinité : nos coups de cœur photo de novembre 2025
Expositions, immersion dans une série, anecdotes, vidéos… Chaque mois, la rédaction de Fisheye revient sur les actualités photo qui l’ont...
28 novembre 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet
Nos derniers articles
Voir tous les articles
Bellissima : la fabrique des apparences par Carla Rossi
© Carla Rossi
Bellissima : la fabrique des apparences par Carla Rossi
Dans son ouvrage Bellissima, publié par Art Paper Editions, Carla Rossi explore les désirs, les façades et les codes qui façonnent la...
Il y a 8 heures   •  
Écrit par Cassandre Thomas
La sélection Instagram #535 : surfaces texturées
© Laura Barth / Instagram
La sélection Instagram #535 : surfaces texturées
Les artistes de notre sélection Instagram de la semaine explorent la matérialité de la photographie. Du papier aux émulsions, en passant...
02 décembre 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Twin Peaks, ambiguïté et nature morte : dans la photothèque de Stan Desjeux
Si tu devais ne choisir qu’une seule de tes images, laquelle serait-ce ? © Stan Desjeux
Twin Peaks, ambiguïté et nature morte : dans la photothèque de Stan Desjeux
Des premiers émois photographiques aux coups de cœur les plus récents, les artistes des pages de Fisheye reviennent sur les œuvres et les...
01 décembre 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
Les coups de cœur #567 : Himanshu Vats et Grant Harder
© Grant Harder
Les coups de cœur #567 : Himanshu Vats et Grant Harder
Himanshu Vats et Grant Harder, nos coups de cœur de la semaine, explorent la nature, et les liens qu’elle entretient avec les humains. Le...
01 décembre 2025   •  
Écrit par Marie Baranger