Cette semaine, notre sélection Instagram est dédiée à un format particulier : le Polaroïd, ainsi qu’aux nuances qu’il permet aux artistes. Expérimentations à l’eau, au feu, à la peinture et autres matériaux, tous et toutes ne cessent d’expérimenter pour nous présenter des œuvres singulières.
@tribanana
Cette artiste macédonienne passionnée par le Polaroïd, immerge les regardeur·euses dans un monde peuplé de créatures oniriques. L’Œuvre de Martina Pavloska est le fruit d’une démarche expérimentale : elle peut aussi bien tremper ses clichés dans des liquides et se laisser surprendre par le résultat, que peindre dessus à l’aquarelle. L’objectif ? Obtenir des résultats colorés aux formes surnaturelles.
@les_polas_de_sophie
Sophie Loustau esquisse, depuis quelques années, un chemin imaginaire au Polaroïd, jalonné d’autoportraits, de fleurs, de paysages ou d’objets du quotidien. Un périple souvent mis en scène pour nous aider à mieux plonger dans son univers.
@lenny__gerard
Collage, dessin, peinture, découpage, assemblage et agencement schématique de fragments… Pour @lenny__gerard, tous les moyens sont bons pour créer une nouvelle narration visuelle étonnante ou conférer un aspect surréaliste à ses images. Ce travail conceptuel nous invite à changer notre façon de penser et de voir le monde.
@bettysuelovespolaroids
À travers l’usage de films périmés, d’une palette de couleurs sombres, de collages introduisant des éléments iconographiques qui renvoient au monde de l’horreur : ectoplasmes, maison hantée, villes fantômes et autres poupées, Cory propose un travail aussi original qu’effrayant.
@lisatoboz
Lisa Toboz est une artiste autodidacte américaine dont l’œuvre se compose essentiellement de fragments narratifs. Ses Polaroïds jouent avec les ombres, les lumières, les flous ainsi que les autoportraits et les natures mortes. Le tout nous baigne dans une atmosphère à la fois lugubre et rêveuse.