Le compte Instagram de la photographe Laura Herranz est un étonnant Pantone d’images de son quotidien. Une accumulation intéressante qui révèle une obsession créatrice très inspirante.
« L’été sauvage », c’est la traduction du nom de son compte que l’on affectionne. Nicola Odemann en est l’auteure, une photographe baroudeuse qui voyage énormément et ramène de chacune de ses échappées des images époustouflantes. À suivre absolument si vous rêvez et vous impatientez de vos vacances !
Si vous êtes du genre à aimer des personnalités aussi différentes que Beth Dito, Arielle Dombasle ou le populaire Antoine Griezmann, ce compte est fait pour vous. Le Brésilien Roberto Frankenberg relaie sur Instagram les superbes portraits qu’il réalise pour Libération mais aussi ses voyages en Bretagne ou au bout du monde.
Ils semblent se multiplier ces comptes anonymes où seule compte la photo. “La Bleue”, parisienne, observe les détails d’une voute, d’un toboggan ou les courbes d’une plante et parvient à suspendre le temps, en argentique.
La muse de Julia s’appelle Alejandra et apparaît sur la plupart de ses images délicates. Depuis Murcia en Espagne, la photographe réalise des portraits de mode, de femmes principalement. Si les modèles varient, la douceur demeure grâce aux tons pâles et aux compositions élégantes.
Le mystérieux Wanist est Coréen. De lui, on sait qu’il est addict à la photo et qu’il a deux jeunes garçons. Sa signature ? La bizarrerie, dans la mouvance d’Izumi Mizayaki donc on vous a déjà parlé dans Fisheye. Les visages sont déformés, dissimulés et les couleurs toujours très pop. Une chouette découverte.