Les artistes de notre sélection Instagram de la semaine saisissent un instant, un moment suspendu dans l’air, une respiration, une légèreté. Dans l’insouciance, iels racontent des récits de bonheur et dessinent les contours du quotidien avec une douceur éternelle.
@matteosabouraud
Les regards et les postures dans les images de Matteo Sabouraud invitent à la contemplation. L’artiste saisit des instants du quotidien, ceux de son entourage, ou d’inconnu·es perdu·es dans leurs pensées. Tantôt, il fige des étreintes, des épisodes de tendresse, tantôt, il griffonne à l’encre noire quelques lignes sur son journal intime visuel.
@nairafee
Oana Stoian nous invite dans l’intimité des corps. Dansantes, immobiles, entrelacées, nues, sous des étoffes en mouvement, leurs courbes se dévoilent sur l’œil bienveillant de l’artiste roumaine. Elle alterne entre des teintes chaudes et un noir et blanc contrasté pour mettre en lumière leur lyrisme et leurs histoires.
@emgalantini
Un soleil éblouissant, des poteaux électriques enveloppés de ce qui ressemble à des flocons, des fougères et des herbes verdoyantes. Emma Galantini s’attache à révéler les éléments qui composent notre planète à la manière d’une poétesse visuelle. À travers eux, elle raconte des récits dans lesquels s’entremêlent le paysage et la vie humaine.
@veermeles
Alise Goldmane réalise un carnet de polaroids. Ses photographies de fleurs sont ponctuées d’autoportraits délicats issus d’un projet débuté en 2025 où chaque semaine, l’artiste tente de capturer son propre être à l’aide d’une caméra instantanée. Une façon pour elle de poser un regard plus affectueux autant sur sa personne que sur sa vie.
@yanyan.zl
Adrian oscille entre la capture de doux moments qui s’offrent à lui dans la rue et les portraits de ses proches, sur une plage, dans un lit ou enfoui·es dans l’herbe. Les lumières suaves et les textures granuleuses de ses clichés nous emportent au cœur du printemps.