C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les pages de Fisheye dévoilent une multitude de dialogues initiés par la photographie. Tout d’abord, Rebecca Najdowski interroge le rôle du médium qui participe à façonner nos représentations de la nature. Par l’entremise de compositions expérimentales, elle matérialise ainsi le désastre écologique. Au travers d’Onde Sommerse, Mirko Ostuni cristallise l’expression d’une jeunesse évoluant au cœur des Pouilles. Dans un autre genre, dans Raï, Boris Bincoletto témoigne d’un besoin d’isolement pour mieux apprécier les rencontres à venir. Ann Massal entame, quant à elle, une discussion entre l’intelligence artificielle et les collections de la Maison européenne de la Photographie (MEP), où elle était en résidence. En résulte Photo Against the Machine, un ouvrage qui déconstruit les codes de l’interprétation traditionnelle de l’art. Cet article est à retrouver dans Fisheye #68. Enfin, jusqu’au 30 mars prochain, à l’occasion de son exposition La Photographie à tout prix, la BnF met en lumière quatre récompenses qui soutiennent les artistes qui ont fait du boîtier leur outil créatif de prédilection. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.