« Je cherche à retranscrire ce qui m’a inspiré lorsque j’étais enfant et adolescent. Cette Amérique martelée à la télévision, dans les séries, les morceaux de musique et les films avec lesquels j’ai grandi. C’est pour cette raison que j’utilise une palette pastel. Je cherche à mettre en avant le côté souvenir », confie Ludwig Favre, photographe français installé entre Paris et Arcachon. C’est aux côtés de son père que l’auteur s’initie à l’argentique et découvre les bains chimiques et la chambre noire. Depuis, passionné notamment par les États-Unis, il sillonne le continent et rapporte de ses périples des clichés estivaux et colorés. Gratte-ciel, scènes balnéaires, minimalisme désertique… De New York à San Francisco en passant par Santa Cruz, Ludwig Favre construit un univers bien à lui, évoquant notamment les prises de vue de Franck Bohbot ou même la symétrie de Wes Anderson.
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