On a testé l’Olympus OM-D E-M1

20 septembre 2013   •  
Écrit par Fisheye Magazine
On a testé l’Olympus OM-D E-M1

Nous voici de retour de Glaslough, petit village irlandais à 130 km de Dublin, où Olympus avait choisi de faire tester son dernier-né dans le magnifique domaine de Castle Leslie. Ce voyage de presse était ponctué d’ateliers photo pour permettre aux journalistes d’essayer quelques fonctionnalités clés de l’OM-D E-M1. On était déjà fan de l’E-M5, ces dernières 24 heures ont fini de nous rendre totalement accro.

L’E-M1 s’apparente à un mini-reflex avec un boîtier plus imposant que l’E-M5 et qui supporte sans broncher objectifs pour hybrides Micro Quatre Tiers et objectifs pour reflex Quatre Tiers grâce à un adaptateur dédié. L’appareil reçoit un nouveau capteur MOS de 4/3 de pouce et de 16 millions de pixels, dépourvu de filtre passe-bas et couplé au processeur nouvelle génération TruePic VII. Hyper réactif, il se dote du nouveau système Dual Fast AF qui s’adapte automatiquement au type de monture et bascule en autofocus à corrélation de phase (doté de 37 collimateurs) pour objectifs 4/3 et en autofocus à détection de contraste (doté de 81 collimateurs) pour objectifs m4/3.

Nous avons pu constater la fiabilité de l’autofocus en testant la rafale à 10 images/s avec AF continu. On n’a pas raté un cheval.

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D’ailleurs, les chevaux non plus n’ont pas chômé et nous ont fait une démonstration de la simplicité du contrôle à distance. L’intégration d’un module wi-fi permet de déclencher l’appareil d’une tablette ou d’un Smartphone (une simple pression du museau suffit) ou de partager les images.

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Parmi les autres points très appréciables, on note l’excellent stabilisateur sur cinq axes, un viseur électronique qui affiche une résolution de 2 360 000 points et un grossissement de 1,48x, un écran orientable tactile et une ergonomie retravaillée avec un grip plus imposant et des molettes plus larges. On a pu apprécier également la finesse des douze filtres créatifs intégrés.

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Ou encore la fonction Live Bulb, qui permet de réaliser une pose longue tout en visualisant l’image sur l’appareil. Un artiste nous a fait une démonstration de Light Painting et nous avons pu contrôler la création de l’image au fur et à mesure sur nos écrans, pas forcément la caractéristique la plus révolutionnaire ou la plus utile, mais magique et ludique assurément. M.A.

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