
Les 17 et 18 novembre, la Fisheye Gallery accueille l’exposition Paris Non Stop, co-curatée par Ernicreative et Fisheye, née de la rencontre entre OPPO et deux photographes parisien·nes. Armé·es du smartphone OPPO Find X9 Pro, Emma Birski et Marvin Bonheur livrent deux visions complémentaires de la capitale : colorée, sociale et toujours en éveil.
À l’occasion du lancement du smartphone OPPO Find X9 Pro, la marque de téléphonie s’associe à Fisheye pour donner carte blanche à deux photographes, Emma Birski et Marvin Bonheur, invité·es à capturer l’énergie inépuisable de la capitale. De jour comme de nuit, leurs séries révèlent un Paris en mouvement, traversé de contrastes, d’instants suspendus et de curiosités urbaines. Grâce à la technologie photographique du OPPO Find X9 Pro, fruit de la collaboration entre OPPO et Hasselblad, le smartphone devient un outil de création à part entière. Il garantit une restitution fidèle des couleurs et une finesse exceptionnelle des détails qui permettent de saisir votre quotidien, en toutes circonstances. En réunissant deux univers singuliers – la couleur maîtrisée d’Emma et le regard social et sensible de Marvin – cette exposition explore l’énergie inépuisable de la capitale. Sans pause, sans filtre et en perpétuel mouvement. Paris Non Stop invite à redécouvrir la ville telle qu’elle vit vraiment.



Emma Birski : Chromatiques urbaines
Photographe de portrait et de mode, Emma Birski développe un univers à la fois graphique et intensément coloré. De l’effervescence du Centre Pompidou lors de sa soirée de clôture à la vie bouillonnante de l’atelier collectif du 59 Rivoli, elle a choisi pour cette carte blanche de suivre le rythme culturel de la ville, mais aussi les détails furtifs des rues qui les relient. « C’était l’occasion d’observer la ville dans deux ambiances très différentes : l’effervescence nocturne puis la créativité diurne », explique l’artiste qui vit à Paris. Ses images offrent une plongée dans une capitale incandescente, baignée de teintes rouges et dorées, où chaque reflet devient matière. « Le OPPO Find X9 Pro m’a permis d’être très mobile et de me concentrer sur ce que je voyais. J’ai isolé des détails, des textures, des couleurs qui ne retiennent pas toujours le regard », confie-t-elle.
Le OPPO Find X9 Pro lui offre une nouvelle liberté : « J’ai adoré le Master Mode, la façon dont le téléphone gère la netteté et les couleurs : c’est naturel, propre et pas surtraité. J’ai réalisé l’essentielle de ma post-production directement dans l’outil interne, c’est rare d’aller aussi vite vers un rendu si qualitatif. » La caméra True Color et les performances en basse lumière du smartphone lui ont permis de restituer fidèlement les atmosphères qu’elle affectionne. Le zoom Hasselblad a offert, selon elle, « de la discrétion et de la polyvalence », deux critères essentiels qui lui ont permis d’explorer Paris sans aucune contrainte. De ces pérégrinations naît un récit visuel d’une mégalopole magnifiée par ses contrastes, entre effervescence nocturne et légèreté d’instants suspendus.



Marvin Bonheur : Paris à distance
Ancré dans une démarche documentaire et poétique, Marvin Bonheur capture un Paris pluriel, celui des travailleur·ses, des passant·es, des architectures et des gestes ordinaires. Originaire de Seine-Saint-Denis, il poursuit depuis plus de dix ans un travail pour rendre visibles des territoires et des visages oubliés. Avec le smartphone OPPO Find X9 Pro, l’artiste découvre une nouvelle manière de shooter. « J’ai aimé la résolution, évidemment, mais ce qui m’a le plus surpris, c’est le zoom. J’ai découvert la photographie à distance », raconte-t-il. Ainsi, le téléobjectif Hasselblad 200 MP et le Super Zoom 120x lui permettent d’isoler une scène sans perturber sa spontanéité avec toujours une précision exceptionnelle. « Ce téléphone n’impressionne pas les sujets. J’ai photographié la rue sans dénaturer les scènes de vie », se remémore Marvin Bonheur.
Le bouton rapide latéral lui rappelle la prise en main de ses appareils argentiques et donne une importante réactivité, idéale pour saisir le bouillonnement urbain. « Les clichés réalisés sont tous assez spontanés. J’ai expérimenté le smartphone de jour comme de nuit et c’était pour moi un vrai exercice d’avoir une telle liberté de choisir le mode de prise de vue et les différents paramètres », explique le photographe. Ses images racontent un Paris vivant et sincère, où chaque fragment du quotidien devient un acte de poésie. Entre observation et empathie, Marvin Bonheur compose une série à hauteur d’humain et à portée de main.

