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C’est l’heure du récap ! Tirage historique, photographie de rue colorée, monochromes étonnants ou collages ironiques… Cette semaine, les pages de Fisheye vous ont proposé des sujets variés, aussi bien dans le fond que dans la forme.
Alors que l’été bat son plein, nous avons sélectionné une série de projets qui évoquent les vacances, le clapotis des vagues et le soleil caressant la peau. Par ailleurs, les sujets publiés cette semaine sur le site de Fisheye vous proposent également un voyage dans diverses contrées. Lucia Buricelli s’aventure dans les rues des villes afin de figer les scènes qui retiennent son attention. En résultent des compositions aussi fantasques que colorées. À l’inverse, Polina Ganz mise sur une esthétique monochrome et nimbée d’onirisme pour déployer un univers inspiré de la culture underground. L’ensemble de ses images est pensé comme « un cabinet de curiosités moderne, où chaque photographie est une évasion dans un monde de personnages inventés », explique-t-elle.
Travailler avec l’histoire
Jusqu’au 28 septembre 2025, la Maison européenne de la photographie consacre une vaste rétrospective à Marie-Laure de Decker, photojournaliste française qui a placé l’humain au cœur de sa pratique. À cette occasion, son fils, Pablo Saavedra de Decker, qui s’occupe désormais de ses archives, nous a révélé les dessous d’un des tirages exposés. Dans un autre genre, Masha Sviatahor travaille également avec l’histoire. En effet, l’artiste biélorusse se plaît à prélever des clichés en noir et blanc dans le magazine soviétique Sovetskoe Foto pour en faire la matière de ses collages. Ponctués d’éléments rouges et dorés, ceux-ci présentent une critique ironique des nombreuses contradictions qui traversaient l’URSS. Cet article est à retrouver dans Fisheye #72, notre numéro spécial Arles. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.