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C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les pages de Fisheye vous proposent de sujets faisant la part belle à la texture, parfois soulignée à coups de flash, ou encore aux paysages et aux natures mortes.
Ces derniers jours, les photographes de Fisheye ont joué avec les textures. Marcin Kruk les dévoile, par exemple, à l’aide du flash de son boîtier. Dans There Are No More Tears Left to Cry, il donne à voir le territoire ukrainien, abîmé par la guerre, dans des teintes pastel. Un article à retrouver en intégralité dans Fisheye #72 vous en dit davantage sur sa pratique. Dans un tout autre registre, les artistes de notre sélection Instagram immortalisent le velouté de la peau, les étreintes et le contact avec différents objets pour matérialiser le toucher. Vanessa Stevens compose des collages qui évoquent une déclinaison d’ambiances et de sensations. Si les formes répondent à une esthétique précise, elles invitent toujours celui ou celle qui contemple à se projeter.
Les thématiques qui nous animent
D’une certaine manière, les appels à candidatures s’articulent également autour de la libre interprétation d’un sujet. Alors que la saison estivale touche à sa fin, nous avons relevé plusieurs résidences, bourses, prix et concours auxquels il est encore temps de participer. Enfin, Luke Evans, qui signe la couverture de notre dernier numéro en date, nous plonge dans sa photothèque, faite de commandes commerciales et d’expérimentations personnelles. À cette occasion, il nous parle de ses sources d’inspiration et des thématiques qui l’animent. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.