Vos découvertes préférées du mois de mars 2021

05 avril 2021   •  
Écrit par Anaïs Viand
Vos découvertes préférées du mois de mars 2021

Focus sur les cinq découvertes préférées des lecteurs, présentées en mars 2021 sur le site de Fisheye : A., Bex Day, Margaux Corda, Maria Maglionico, et Juha Arvid Helminen.

1. A. – ou @gyoza_and_sake

Sur la galerie digitale du mystérieux A. – ou @gyoza_and_sake sur Instagram – recèle un ensemble sombre et troublant de clichés. Entre l’anonymat de la rue et l’intimité d’une chambre d’hôtel, le photographe flirte avec les frontières de l’obscène et dévoile, avec passion, un ensemble d’images monochromes.

© @gyoza_and_sake© @gyoza_and_sake

© @gyoza_and_sake

© A. @gyoza_and_sake

2. Bex Day

« Mon approche photographique ? Elle est émotive, brute, honnête, inclusive et parfois surréaliste »,

 déclare Bex Day. C’est après avoir étudié le journalisme que la photographe, installée à Londres, s’est tournée vers le 8e art. Un cursus qui a influencé sa manière de concevoir ses projets. « J’aime construire une narration avant de shooter, pour que chaque session soit unique », précise-t-elle.

© Bex Day© Bex Day

© Bex Day

© Bex Day

3. Margaux Corda

« En tant que femme, je m’interroge constamment sur les symboles et les représentations du genre, de nos jours, ainsi que sur le bagage historique, émotionnel et familial que nous recevons »,

déclare la photographe suisse Margaux Corda. Dans Blade for Babes, elle déconstruit les clichés liés à la féminité pour en révéler leur profonde violence.

© Margaux Corda© Margaux Corda
© Margaux Corda© Margaux Corda

© Margaux Corda

4. Maria Maglionico

« Reproduire une sensation, retrouver une impression visuelle, capturer des sentiments… Je cherche cette chose qui ne peut être perçue qu’à travers des images », 

explique la photographe italienne Maria Maglionico. Son objectif ? Exprimer les sentiments qui dépassent le cadre du langage. Découvrant la profonde complexité qui découle de l’acte photographique, l’artiste se met en quête pour révéler l’ineffable.

© Maria Maglionico© Maria Maglionico

© Maria Maglionico

© Maria Maglionico

5. Juha Arvid Helminen

Dans The Invisible Empire, le photographe finlandais Juha Arvid Helminen nous entraîne violemment dans le cauchemar d’une dystopie. Face aux allégories de nos vices, l’artiste impose aux regardeurs une introspection collective.

© Juha Arvid Helminen

© Juha Arvid Helminen© Juha Arvid Helminen

© Juha Arvid Helminen

© A. @gyoza_and_sake

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