Les errances solitaires de Jake Mein

09 juillet 2021   •  
Écrit par Joachim Delestrade
Les errances solitaires de Jake Mein

« Dans l’ensemble, l’acte de faire des photographies est  une activité solitaire », annonce Jake Mein. Et de cette solitude, l’artiste néo-zélandais tire sa créativité. Le photographe est aussi influencé par les paysages et la culture de son pays. « Tout le monde est influencé par son environnement… Une petite nation au milieu de nulle part. Je trouve cela fascinant », confie-t-il. Sa série Six for gold résulte d’un travail au long cours : pendant près de 10 ans, il a questionné les notions d’appartenance, d’identité, et de détérioration de lieux familiers. En témoigne une de ses images favorites, la photo du chapiteau en cours de démontage. « J’ai passé une grande partie de mon enfance ici. À l’arrière-plan, on peut voir la silhouette de la cimenterie démolie. Cela a entraîné un changement radical dans la ville, en termes d’emplois et de revenus. » Un sujet qu’il explore actuellement dans une nouvelle série.

 

© Jake Mein
Test_Peter 004
© Jake Mein
Test_Peter 005

© Jake Mein

© Jake Mein
jm 009
© Jake Mein
Test_Peter 001
© Jake Mein
009
© Jake Mein
Test_Peter 033

© Jake Mein

© Jake Mein
jm 003
© Jake Mein
1 008
© Jake Mein
jm 001
© Jake Mein
003

© Jake Mein

Explorez
Raphaëlle Peria et Fanny Robin remportent l’édition 2025 du BMW ART MAKERS 
© Raphaëlle Peria / ADAGP
Raphaëlle Peria et Fanny Robin remportent l’édition 2025 du BMW ART MAKERS 
Le jury du BMW ART MAKERS s’est accordé à nommer l’artiste Raphaëlle Peria et la curatrice Fanny Robin lauréates de la quatrième édition...
18 janvier 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet
Résidence 1+2 : fusion du vivant et des croyances en images
© Alžběta Wolfova, Insect Gaze_3, Photogramme.
Résidence 1+2 : fusion du vivant et des croyances en images
La Résidence 1+2 dévoile son coffret 2024, Fabulae, composé de trois livres photographiques présentant les séries de Céline Clanet...
16 janvier 2025   •  
Écrit par Fisheye Magazine
À travers Female Gaze, Luma Koklova réenchante le monde
© Luma Koklova. Female Gaze (Cosmologies).
À travers Female Gaze, Luma Koklova réenchante le monde
Dans « Female Gaze », le premier chapitre de sa série Cosmologies, la photographe Luma Koklova pose un regard neuf, décolonisé et libéré...
09 janvier 2025   •  
Écrit par Marie Baranger
La première rétrospective de Corinne Vionnet est à découvrir au musée de Pont-Aven
© Corinne Vionnet
La première rétrospective de Corinne Vionnet est à découvrir au musée de Pont-Aven
Le musée de Pont-Aven accueille l’exposition Écran total de Corinne Vionnet. Il s'agit de la première rétrospective de l’artiste...
04 janvier 2025   •  
Écrit par Costanza Spina
Nos derniers articles
Voir tous les articles
Balázs Turós et le quotidien de sa grand-mère atteinte de démence
© Balázs Turós
Balázs Turós et le quotidien de sa grand-mère atteinte de démence
Confronté à la maladie de sa grand-mère et à ses propres questionnements existentiels, le photographe hongrois Balázs Turós sonde l’âme...
Il y a 1 heure   •  
Écrit par Agathe Kalfas
La sélection Instagram #490 : jardin secret
© Talya Brott / Instagram
La sélection Instagram #490 : jardin secret
Les artistes de notre sélection Instagram de la semaine confectionnent un nid douillet. Sur leurs images se dévoilent un cocon familial...
Il y a 5 heures   •  
Écrit par Marie Baranger
Les coups de cœur #528 : Mélodie Roulaud et LickieMcGuire
© LickieMcGuire
Les coups de cœur #528 : Mélodie Roulaud et LickieMcGuire
Mélodie Roulaud et LickieMcGuire, nos coups de cœur de la semaine, se livrent toutes deux à une pratique photographique ayant trait à...
20 janvier 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet
Les images de la semaine du 13.01.25 au 19.01.25 : la mémoire du vivant
© Alžběta Wolfova, Enveloppe, Muséum Victor Brun à Montauban.
Les images de la semaine du 13.01.25 au 19.01.25 : la mémoire du vivant
C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les pages de Fisheye évoquent différents aspects de la mémoire, du vivant et des sciences.
19 janvier 2025   •  
Écrit par Apolline Coëffet