Exercer leur female gaze , représenter la communauté noire en studio, capturer les habitants dans leur ville… Les photographes de notre sélection Instagram #296 parviennent tous à exalter leur environnement personnel.
@john.baloy
Entre compositions surréalistes et influences mode, John Baloy, photographe installé à Johannesburg, place la communauté noire au cœur de ses créations. Inspiré par les arts visuels et le design graphique, il illustre, à travers des œuvres pop et picturales, son engagement.
© John Baloy / Instagram
@mahaalasaker
Artiste et directrice artistique, Maha Alasaker dévoile sur Instagram ses singulières mises en scène. Natures mortes, portraits, expérimentations visuelles, clichés engagés… La photographe use de son female gaze pour capturer et interroger son héritage et son environnement.
© Maha Alasaker / Instagram
@ojosmomento
Installé à Essaouira, au Maroc, le photographe Fahmi Saïd capture à l’argentique le quotidien de la ville portuaire. Sous la chaleur d’un ciel ardent, les habitants défilent, s’agitent, battent le tempo de la rue… Et donnent vie au paysage urbain.
© Fahmi Saïd / Instagram
@ulysses_aoki
« Mes photographies sont des tentatives d’idées »,
déclare Ulysses Aoki, street photographe installé à Tokyo. Friand de clairs-obscurs et de compositions graphiques, l’Instagrameur arpente la capitale japonaise à la recherche d’instants amusants ou de scènes cinématographiques. Une immersion dans la vie citadine et son rythme effréné.
© Ulysses Aoki / Instagram
@martiloi
« Je photographie ce que j’aime »
, peut-on lire simplement sur la galerie digitale de Martina Loiola. Installée en Italie, l’artiste met délicatement en scène ses amis lors de déambulations au cœur du pays. Portraits et paysages s’embrassent pour former une ballade des plus sensibles.
© Martina Loiola / Instagram
Image d’ouverture : © Ulysses Aoki / Instagram