Nomade 3.0, John Kilar documente ses périples à l’argentique. Les festivals sont son terrain favori. Il y photographie les âmes singulières et les personnes étranges. Snoop Dog et le mannequin Agyness Deyn sont notamment passés devant son objectif.
James Bannister est un conteur. Sur ces portraits, les regards sont toujours empreints de mélancolie. Les paysages, eux, sont déserts et laissent au spectateur la possibilité d’imaginer toutes les histoires possibles sur ces lieux vides.
La jeunesse n’en finit pas d’inspirer Nika, jeune photographe new-yorkaise. Libres, amoureux, entiers, les adolescents se dévoilent sous son regard. Ses photos sont intimistes, prises dans des coins secrets, là où ses sujets sont eux-mêmes.
Tristan Hutchinson vit en Irlande et examine, à travers ses photos, l’impact de la politique, de l’économie et de l’industrie sur les paysages et les communautés. Son approche méthodique fait naître des images à l’esthétique impeccable et sans accroc.
Tania Shcheglova et Roman Noven sont ukrainiens. Leurs noms ne vous disent peut-être pas grand chose, mais nul doute que vous avez déjà vu passer leurs photos de nus. Ils ont ouvert leur compte Instagram il y a seulement trois semaines. Et on vous incite vivement à les suivre, car leur univers très affirmé est une source d’inspiration enrichissante.
Alex Massey est directeur artistique, réalisateur et photographe. On pourrait presque deviner son appétence pour le cinéma dans le rendu de ses images. Il y impulse une forme de dramaturgie subtile grâce à une lecture sensible des lumières naturelles.