Nous avons tendance à ne regarder que ce qui est sous la lumière, sans nécessairement prêter attention à ce qui se cache dans l’ombre. Cette semaine, notre sélection Instagram #410 inverse les rôles, et nous dévoile l’envers du décor.
Installé à Paris, Jam Schneider se passionne pour les jeux d’ombre et de lumière, et façonne par la photographie des tableaux corporels – faits de filtres de couleurs et de motifs projetés. Aux couleurs néon, ses clichés pourraient être extraits d’un clip de musique pop, qui chantonne l’amour.
![© Jam Schneider / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/jamschneider-1-fisheye-819x1024.jpg)
![© Jam Schneider / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/jamschneider-2-fisheye-819x1024.jpg)
Artiste grec à l’esthétique minimaliste, Kleanthis Mpantis pratique une photographie des heureux hasards et de la spontanéité. Dans la rue comme dans un studio, avec lui, l’ombre révèle, plutôt que dissimule.
![© Kleanthis Mpantis / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/kleanthis-mpantis-1-fisheye-1024x1024.jpg)
![© Kleanthis Mpantis / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/kleanthis-mpantis-2-fisheye-819x1024.jpg)
Photographe et directeur de la photo, Uzmann Rizman aime le mystère, et joue avec les registres. Les personnages qu’il met en scène – le plus souvent masculins –, tapis dans l’obscurité, se retrouvent tour à tour hantés par des peurs inconnues, par l’ombre d’une femme ou par leur propre fantôme.
![© Uzmaan Rizwan / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/uzmaan-rizwan-1-fisheye-819x1024.jpg)
![© Uzmaan Rizwan / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/uzmaan-rizwan-2-fisheye-819x1024.jpg)
Photographe de rue originaire de Londres, Darren Sacks recherche « l’incroyable dans le quotidien ». Dans ses images, l’artiste s’amuse des contrastes provoqués par l’ombre, et marie les couleurs vives avec le noir pour en faire ressortir tous les détails.
![© Darren Sacks / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/350246933-822726278969391-784215266738364595-n-819x1024.jpg)
![© Darren Sacks / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/353815186-1215260065859322-8532462191678117251-n-819x1024.jpg)
Celui qui se cache derrière le compte @so.asa construit ses clichés grâce à son téléphone. Installé·e en Corse, l’artiste suspend le temps à travers ses photographies. La technique employée met en avant les sujets et semble inverser un schéma : les couleurs disparaissent au profit de l’ombre.
![© so.asa / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/118931334-621798711816158-39865091665682595-n-819x1024.jpg)
![© so.asa / Instagram](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/07/119527694-278287490016572-7967313182890637536-n-820x1024.jpg)