Des images très minérales, où le bord de mer rocailleux plongé dans la brume dégage quelque chose de presque mystique. Où l’homme se fait tout petit. Mathilde Guiho est presque parvenue à photographier un entre-deux mondes.
A l’autre bout du monde, en Nouvelle-Zélande, les paysages baignent dans une lumière étrangère. Les images de Julien évoquent ne atmosphère de quiétude, de grandeur dans laquelle se déploie le bonheur et l’insouciance d’une jeunesse perdue au bout du monde.
Spontané et décalé. C’est ainsi que l’on pourrait qualifier le style de Pauline qui photographie son quotidien simplement et non sans candeur.