C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les photographes cherchent la singularité du réel et portent un soin particulier à la narration. Dans Still Life, Kate Sterlin puise dans ses albums de famille et dans le quotidien pour dévoiler une étude onirique et profonde autour des complexités de l’identité métisse. Dans un autre registre, Amy Koening tente de trouver la lumière dans l’obscurité. Pour ce faire, elle façonne un univers fait de mises en scène qui lui permettent de reprendre le contrôle face à l’incertitude. Au fil des ans, les pages de Fisheye ont donné à voir un grand nombre d’artistes expérimentant au gré de recherches scientifiques. Un de nos dossiers revient sur les pratiques disparates de Marta Bogdanska, Mattia Parodi et Piergiorgio Sorgetti, Téo Becher et Solal Israel, Murray Ballard, Mathias de Lattre et Sari Soininen, qui s’inscrivent dans cette tendance. Dans The Third Atlas, Eric Tabuchi s’appuie également sur la technologie, et plus particulièrement sur l’intelligence artificielle, pour ouvrir les portes de l’inconscient. Enfin, un de nos articles, à retrouver dans Fisheye #67, évoque la manière dont se construisent les imaginaires dévoilés dans nos épisodes de Focus. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.




