À travers sa nouvelle série Strange Bloke, le photographe berlinois Daniel Müller propose une lecture contemporaine de l’Australie – « au-delà du sublime ». « Plutôt que de photographier le paysage dans sa forme la plus monumentale, j’isole les éléments qui composent les images : l’horizon de l’océan, les détails des feuilles de palmier, ou encore le toit des appartements. Je suis attirée par le banal », explique ce photographe adepte des diptyques. « J’aime voir et trouver des similitudes », ajoute-t-il. Qui est cet homme étrange (NDLR, Strange bloke, en anglais) qui prend des photos ici ? Un photographe voyageur qui partage des scènes du quotidien dont il s’est fait le témoin. Une observation subtile et colorée de ce continent insulaire.
![© Daniel Müller](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2020/02/StrangeBloke-DanielMueller-8352-580x812.jpg)
![© Daniel Müller](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2020/02/StrangeBloke-DanielMueller-0300-580x812.jpg)
![© Daniel Müller](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2020/02/StrangeBloke-DanielMueller-4326-580x812.jpg)
![© Daniel Müller](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2020/02/StrangeBloke-DanielMueller-0941-580x812.jpg)
![© Daniel Müller](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2020/02/StrangeBloke-DanielMueller-4989-580x812.jpg)
![© Daniel Müller](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2020/02/StrangeBloke-DanielMueller-5392-580x812.jpg)
![© Daniel Müller](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2020/02/StrangeBloke-DanielMueller-0957-580x812.jpg)
![© Daniel Müller](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2020/02/StrangeBloke-DanielMueller-4948-580x812.jpg)
© Daniel Müller