Dans les images de Justine, rien n’est laissé au hasard. La jeune femme est aussi directrice artistique et a l’habitude des shootings. Une rigueur dans la mise en scène, dans la construction d’un propos que l’on retrouve dans des photos plus personnelles, riches en symboles et en métaphores.
« Je photographie ce que je ne peux pas peindre… » Cette phrase de Man Ray peut tout à fait illustrer le travail d’Alice Schillaci. Photographe de mode, la jeune femme nous offre sur Instagram des photos remarquables. Elle met en place une atmosphère étrange, chimérique, où la beauté et la mélancolie dominent le cadre.
La mode, les portraits et une certaine étrangeté tiennent aussi une place très importante dans les images de Jade. Elle y ajoute une dimension romanesque importante, fascinante, inspirante.
De photo de mode, encore, mais ici, bercée par une lumière chaleureuse constante. Il y a de la fragilité, des regards fermés ou levés vers le ciel… Il y a dans les images de Jess Brohier une forme de nonchalance éperdue qui nous plaît beaucoup.
Rene Maurin s’intéresse à deux styles photographiques différents. D’un côté des images très colorées, shootées au flash, où le moindre détail est minutieusement préparé. De l’autre, des clichés plus lifestyle, avec davantage de respirations, de spontanéité.
Dans les images de Janah, les lignes de fuite se perdent dans l’horizon. Les couleurs invoquent des envies d’ailleurs. Et les silhouettes perdues au loin nous invitent à la solitude.