C’est l’heure du récap’ ! Les photographes de la semaine se confient sur des sujets intimes de prime abord personnels, mais dont l’écho résonne de manière universelle. Pour le rendez-vous Focus hebdomadaire, Paola Paredes délivre un récit brutal sur les thérapies de conversion mises en place dans son pays d’origine, l’Équateur. Ces cliniques de l’horreur s’attachent à vouloir changer l’orientation sexuelle et l’identité de genre des personnes LGBTQIA+. Dans le fanzine Fragile (Handle with care), Pauline Alioua partage une vision en noir et blanc de la fragilité de la vie. Cette œuvre est à retrouver à l’occasion de la cinquième édition du festival Rolling Paper au BAL, à Paris. Lors de ce festival de l’édition indépendante, découvrez également le dernier livre de Francesco Merlini, Better in the Dark than His Rider. Composé d’images orphelines capturées au fil des années, il raconte avec poésie le processus d’endormissement, de l’éveil au sommeil, en passant par les mystérieux rêves lucides. De façon plus personnelle, Fernanda Tafner expose dans sa série Elide, raconte-moi tes rêves, les souvenirs que referme la maison de sa tante décédée. Enfin, l’artiste américaine Brea Souders illustre sa relation « épistolaire » avec Eliza, un chatbot féminin âgé de 18 ans. Cet article est à retrouver dans notre dernier magazine consacré aux intelligences artificielles. Chaque image raconte une histoire, cliquez juste ci-dessous pour les découvrir.




