Les jeux de lumière de Delfina Carmona

14 décembre 2018   •  
Écrit par Lou Tsatsas
Les jeux de lumière de Delfina Carmona

« Je vis une histoire d’amour avec la lumière et la couleur. Je cherche la beauté dans tout ce qui m’entoure », déclare Delfina Carmona, photographe installée à Buenos Aires. Poétiques, sensuelles et parfois absurdes, les images de la jeune femme sont sublimées par la lumière naturelle. « Je peux imaginer une photographie rien qu’en apercevant une lueur », confie-t-elle. Si la photographe aime expérimenter, son matériel reste minimaliste. « L’équipement ne fait pas tout. De véritables merveilles peuvent être créées avec le strict minimum », précise-t-elle. Libre, elle se met en scène, afin de raconter des histoires mêlant légèreté et onirisme. « Je préfère réaliser des autoportraits. Ainsi, je sais exactement comment me placer, quoi exprimer, comment faire surgir l’émotion », ajoute l’artiste. Jeux d’ombre sur les murs, et illusions d’optique déformantes, Delfina Carmona joue avec les corps avec malice. Un univers splendide qu’elle construit au gré de ses envies.

© Delfina Carmona© Delfina Carmona

© Delfina Carmona© Delfina Carmona

© Delfina Carmona© Delfina Carmona© Delfina Carmona© Delfina Carmona© Delfina Carmona© Delfina Carmona

© Delfina Carmona© Delfina Carmona

© Delfina Carmona

Explorez
Les coups de cœur #521 : Aurélia Sendra et Hugo Payen
© Hugo Payen
Les coups de cœur #521 : Aurélia Sendra et Hugo Payen
Aurélia Sendra et Hugo Payen, nos coups de cœur de la semaine, figent les instants de milieux disparates. La première prend pour cadre...
02 décembre 2024   •  
Écrit par Apolline Coëffet
Les images de la semaine du 25.11.24 au 01.12.24 : raconter des mondes méconnus
© Tamara Janes
Les images de la semaine du 25.11.24 au 01.12.24 : raconter des mondes méconnus
C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les photographes sondent le monde pour mettre en avant des histoires méconnues, soulever des...
01 décembre 2024   •  
Écrit par Apolline Coëffet
 Folk, voyage dans l’Angleterre ré-enchantée : portrait nuancé du druidisme
© Theo McInnes
 Folk, voyage dans l’Angleterre ré-enchantée : portrait nuancé du druidisme
Avec leur livre Folk, voyage dans l’Angleterre réenchantée, le journaliste Thomas Andrei et le photographe Theo...
27 novembre 2024   •  
Écrit par Hugo Mangin
Art et journalisme : comment les photographes de Fisheye relatent l’histoire
© Andrea Sena
Art et journalisme : comment les photographes de Fisheye relatent l’histoire
Enjeux sociétaux, crise environnementale, représentation du genre… Les photographes publié·es sur Fisheye ne cessent de raconter, par le...
27 novembre 2024   •  
Écrit par Lou Tsatsas
Nos derniers articles
Voir tous les articles
Rebecca Topakian : le destin revisité de Dame Gulizar
Dame Gulizar and other love stories © Rebecca Topakian
Rebecca Topakian : le destin revisité de Dame Gulizar
Jusqu'au 21 décembre 2024, dans le cadre de PhotoSaintGermain et de Un Week-end à l'est 2024, Rebecca Topakian, photographe...
Il y a 1 heure   •  
Écrit par Marie Baranger
Sarah Moon inaugure le nouveau rendez-vous de Chanel autour de la création des images
© Sarah Moon
Sarah Moon inaugure le nouveau rendez-vous de Chanel autour de la création des images
À compter du 5 décembre 2024, le 7 à 9 de Chanel se tiendra tous les deux mois au Jeu de Paume. Gracieusement ouvert à toutes et à...
04 décembre 2024   •  
Écrit par Apolline Coëffet
AImagine : l'exposition du Hangar qui interroge l'intelligence artificielle
© Pascal Sgro
AImagine : l’exposition du Hangar qui interroge l’intelligence artificielle
Le Hangar à Bruxelles accueillera, du 24 janvier au 15 juin 2025, AImagine - Photography and generative images, une exposition collective...
04 décembre 2024   •  
Écrit par Costanza Spina
Jérémy Saint-Peyre et les cicatrices invisibles des traumatismes
© Jérémy Saint-Peyre
Jérémy Saint-Peyre et les cicatrices invisibles des traumatismes
Dans Là où même le bleu du ciel est sale, Jérémy Saint-Peyre s’intéresse aux « violences latentes », invisibles et douloureuses, qui...
03 décembre 2024   •  
Écrit par Lou Tsatsas