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C’est l’heure du récap ! Questionnements existentiels, identité, archives étrangères ou personnelles… Cette semaine, l’intimité se trouve au cœur des sujets présentés sur les pages du site de Fisheye.
Comme souvent, ces derniers jours, l’intimité a traversé les pages de Fisheye. À travers ses projets, Ekaterina Perfilieva s’intéresse au vide, à la solitude et à l’aliénation sociale qui tendent à caractériser notre monde moderne. Notre sélection Instagram de la semaine gravite autour de la notion de maison et présente des artistes qui, au fil de leurs œuvres, évoquent notamment les traditions, les habitudes et les souvenirs qui prennent place au sein de ces espaces. Jusqu’au 21 décembre 2025, la Fondation A, située à Bruxelles, vous invite à découvrir What’s the Word? Johannesburg!, une exposition dépeignant certaines réalités de la plus grande ville d’Afrique du Sud. Le public pourra y apprécier les tirages de Sibusiso Bheka, Jabulani Dhlamini, Thembinkosi Hlatshwayo, Vuyo Mabheka, Alice Mann, Dimakatso Mathopa, Nono Motlhoki, Xolani Ngubeni et Zwelibanzi Zwane.
Archives étrangères ou personnelles
Jet Siemons, dont nous vous avions déjà présenté le travail il y a quelque temps, nous livre la suite d’Hannie & Billo – The Trail Project. D’un album photo transcendant les époques, la série a évolué en une enquête documentaire pleine de rebondissements, retraçant la trajectoire d’un couple inconnu que les affres de l’existence ont séparé. Un article à retrouver en intégralité dans Fisheye #73 vous en dit davantage. Enfin, à l’occasion de la nouvelle édition du « 7 à 9 de Chanel », accueillie par le Jeu de Paume, Valérie Belin a déroulé sa carrière et a évoqué sa perception singulière du 8e art en revenant sur ses projets les plus emblématiques. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.