Dans un monde fait de dualités, notre sélection Instagram #424 cherche et trouve sa place. Cette semaine, nous mettons en lumière des œuvres qui offrent une complexité technique et artistique.
@sedanevas
Jeune photographe installée à Ankara, en Turquie, Seda Ünnü s’essaye à de nombreux genres, de la street photography au portrait. La double exposition, procédé fréquent dans son œuvre, lui permet de raconter des histoires, de dire le brouillage des souvenirs ou tout simplement de produire un effet de surprise poétique.
@hannejonessolfjeld
Hanne Jones Solfjeld a la manie de vouloir toujours distordre la réalité, en pratiquant ce qu’elle désigne elle-même comme de « l’escapisme ». La photographe expérimente à travers le collage, la lomographie, mais aussi la peinture voire parfois l’intelligence artificielle. Le résultat ? Une œuvre psychédélique et onirique.
@olivier.lei
Photographe de rue qui déambule à travers le monde, Olivier Lei impressionne par ses compositions graphiques, aux ambiances vintage, et par sa capacité à jouer avec les coïncidences, qu’il souligne à travers son usage de la double exposition.
@themichaelkartes
Souvenirs, mélancolie, insouciance… Tant de notions émergent des clichés du photographe Michael Kartes. Installée à Seattle, iel touche les spectateurices grâce à des images qui rendent l’âme et le cœur nostalgique. Une plongée dans les émotions de chacun·e.
@w.k.a.s
C’est généralement en noir et banc que l’artiste énigmatique qui se cache derrière le compte @w.k.a.s fige l’existence. Cellui-ci utilise les nuances et la superposition d’images pour créer ses compositions. Jeux de lumière et recherche du sujet se marient et forment un couple qui attire l’œil.