Intime
Comment illustrer les émotions qui nous régissent ? Les sentiments qui nous emplissent ? Notre rapport au corps ? Au cœur de récits personnels, les photographes voguent et figent les états d’âme de l’être humain.
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Entre souvenirs poétiques de voyage et série contre le racisme, nos photographes coups de cœur #296, Gloria Constant Massa et Alexandre...
Focus sur les cinq découvertes préférées des lecteurs, présentées en juin 2020 sur le site de Fisheye : Maria Lax, AnaHell & Nathalie...
La photographe russe Marina Shukurova est partie durant deux semaines dans le Grand Nord, près de Mourmansk, pour documenter un mal...
Voyages lointains ou fantasmés... Les photographes de cette sélection Instagram nous invitent à plonger dans leurs univers exotiques ou...
Dans Je n’écris plus pour moi seule, la photographe française Lise Dua fait dialoguer les souvenirs de ses parents avec ses propres...
Camille Reposeur documente un quotidien charismatique et Charlène Vanden Heede se ressasse de doux souvenirs. La nostalgie du temps qui...
Fisheye revient sur dix ans d’histoire du Festival Circulation(s), et donne la parole aux photographes qui ont participé à l’événement....
Hommage au photographe japonais Issei Suda, l'ouvrage78, publié aux Éditions Chose Commune dévoile, en 78 images inédites, la poésie...
À travers l'art du portrait, les photographes de cette sélection Instagram #248 entament une réflexion sur l'acceptation de soi....
Fisheye continue à vous donner la parole après le confinement. Chaque semaine, découvrez des photos et son auteur(e). C'est à Marseille...
Le point commun d’Esther Joly et Camille Loiseau, nos coups de cœur #290 ? Un amour de la poésie et du minimalisme. Une collection...
Sage Szkabarnicki-Stuart est une photographe autodidacte de 24 ans qui vit et travaille à Toronto, au Canada. Elle explore une multitude...
Tous deux installés en Allemagne, Sabrina Jeblaoui et Lenaïg Chatel puisent leur inspiration dans le voyage, l’insouciance et l’être...
Fisheye continue à vous donner la parole après le confinement. Chaque semaine, découvrez des photos et son auteur(e). Familial et intime...
Graphiste de formation, c’est en déménageant à Nantes que Cécile André, 33 ans, s’est tournée vers la photographie « Cette ville regorge...
Fisheye continue à vous donner la parole après le confinement. Chaque semaine, découvrez des photos et son auteur(e). Confiné en famille...
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C’est l’heure du rendez-vous Focus de la semaine ! Cette semaine, Guillaume Blot nous ouvre les portes de ses rades préférés, ces lieux à...
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Dans nos coups de cœur de la semaine, Mirielle A. Rohr et Linda Zhengová composent les étapes d’une vie en mutation. Leurs images...
Kaboul, Kaboul, Afghanistan, 29 février 2024. Des journalistes féminines travaillent dans le bureau d'un média axé sur les femmes. Depuis l'arrivée au pouvoir des talibans en août 2021, le paysage médiatique afghan a été décimé.
Selon Reporters sans frontières, dans les trois mois qui ont suivi la prise de pouvoir des talibans, 43 % des médias afghans ont disparu. Depuis, plus des deux tiers des 12 000 journalistes présents dans le pays en 2021 ont quitté la profession.
Pour les femmes journalistes, la situation est bien pire : obligées de se couvrir le visage, de voyager avec un chaperon, interdites d'interviewer des officiels, soumises au harcèlement et aux menaces, plus de 80 % d'entre elles ont cessé de travailler entre août 2021 et août 2023, selon Amnesty International.
Sans reporters féminines, il devient de plus en plus difficile de rendre compte de la situation des femmes afghanes dans une société où les hommes sont rarement autorisés à les interviewer. Les sujets concernant les droits des femmes sont particulièrement sensibles, et la pression exercée sur les médias et les journalistes a fait de l'autocensure la nouvelle norme pour les reportages. © Kiana Hayeri pour Fondation Carmignac
Le jury du Prix Carmignac a récompensé Kiana Hayeri et Mélissa Cornet pour Afghanistan: No Woman’s Land. Cette édition 2024 est consacrée...